Alfred Jarry, poèmes et poésie

Bardes et cordes

Le roi mort, les vingt et un coups de la bombarde
Tonnent, signal de deuil, place (continuer...)

Je fus pendant longtemps ouvrier ébéniste
Dans la ru’ du Champs d’ Mars, (continuer...)

Roses de feu, blanches d'effroi,
Les trois
Filles sur le mur froid
Regardent (continuer...)

Ma fille — ma, car vous êtes à tous,
Donc aucun d'eux ne fut valable maître,
Dormez (continuer...)

L’homme est seul, l’homme est faible. Il doit, pour se nourrir,
Asservissant (continuer...)