Arthur Rimbaud
Oeuvres poétiques
Accroupissements
Bien tard, quand il se sent l’estomac écœuré,
Le frère Milotus un œil à (continuer...)
Le frère Milotus un œil à (continuer...)
Age d’or
Antique
Gracieux fils de Pan ! Autour de ton front couronné de fleurettes et de baies tes (continuer...)
Au Cabaret Vert, cinq heures du soir
Depuis huit jours, j’avais déchiré mes bottines
Aux cailloux des chemins. J’entrais (continuer...)
Aux cailloux des chemins. J’entrais (continuer...)
Aube
J'ai embrassé l'aube d'été.
Rien ne bougeait encore au front des palais. (continuer...)
Rien ne bougeait encore au front des palais. (continuer...)
Aux livres de chevet…
Aux livres de chevet, livres de l'art serein,
Obermann et Genlis, Ver-vert et le (continuer...)
Obermann et Genlis, Ver-vert et le (continuer...)
Bal des pendus
Bannières de mai
Bonne pensée du matin
Bruxelles
Ce qu’on dit au Poète à propos de fleurs
Chanson de la plus haute tour
Chant de guerre parisien
Comédie de la soif
Comédie en trois baisers
Départ
Assez vu. La vision s'est rencontrée à tous les airs.
Assez eu. Rumeurs des villes, (continuer...)
Assez eu. Rumeurs des villes, (continuer...)
Entends comme brame
Est-elle almée ?
Est-elle almée ?… aux premières heures bleues
Se détruira-t-elle comme les (continuer...)
Se détruira-t-elle comme les (continuer...)
État de siège ?
Le pauvre postillon, sous le dais de fer blanc,
Chauffant une engelure énorme (continuer...)
Chauffant une engelure énorme (continuer...)
Faim
Fêtes de la faim
Honte
Je préfère sans doute…
Je préfère sans doute, au printemps, la guinguette
Où des marronniers nains (continuer...)
Où des marronniers nains (continuer...)
Jeune goinfre
Jeune ménage
La chambre est ouverte au ciel bleu turquin ;
Pas de place : des coffrets et des (continuer...)
Pas de place : des coffrets et des (continuer...)
L’Eternité
L’étoile a pleuré rose …
L'étoile a pleuré rose au cœur de tes oreilles,
L'infini roulé blanc de ta (continuer...)
L'infini roulé blanc de ta (continuer...)
L’Homme juste
Le Juste restait droit sur ses hanches solides :
Un rayon lui dorait l'épaule (continuer...)
Un rayon lui dorait l'épaule (continuer...)
L’Idole, Sonnet du Trou du Cul
Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la (continuer...)
Il respire, humblement tapi parmi la (continuer...)
L’Orgie parisienne ou Paris se repeuple
Ô lâches, la voilà ! dégorgez dans les gares !
Le soleil expia de ses poumons (continuer...)
Le soleil expia de ses poumons (continuer...)
La Chambrée de nuit
La Maline
Dans la salle à manger brune, que parfumait
Une odeur de vernis et de fruits, (continuer...)
Une odeur de vernis et de fruits, (continuer...)
La Rivière de Cassis
Larme
Loin des oiseaux, des troupeaux, des villageoises,
Je buvais, accroupi dans quelque (continuer...)
Je buvais, accroupi dans quelque (continuer...)
Le balai
C’est un humble balai de chiendent, trop dur
Pour une chambre ou pour la peinture (continuer...)
Pour une chambre ou pour la peinture (continuer...)
Le bateau ivre
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les (continuer...)
Je ne me sentis plus guidé par les (continuer...)
Le buffet
C'est un large buffet sculpté ; le chêne sombre,
Très vieux, a pris cet air (continuer...)
Très vieux, a pris cet air (continuer...)
Le châtiment de Tartufe
Tisonnant, tisonnant son coeur amoureux sous
Sa chaste robe noire, heureux, la (continuer...)
Sa chaste robe noire, heureux, la (continuer...)
Le Coeur supplicié
Le Coeur volé
Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes (continuer...)
Accrochant follement aux herbes (continuer...)
Le Forgeron
Le bras sur un marteau gigantesque, effrayant
D'ivresse et de grandeur, le front (continuer...)
D'ivresse et de grandeur, le front (continuer...)
Le loup criait
Le mal
Tandis que les crachats rouges de la mitraille
Sifflent tout le jour par l'infini (continuer...)
Sifflent tout le jour par l'infini (continuer...)
Les assis
Noirs de loupes, grêlés, les yeux cerclés de bagues
Vertes, leurs doigts boulus (continuer...)
Vertes, leurs doigts boulus (continuer...)
Les chercheuses de poux
Quand le front de l’enfant, plein de rouges tourmentes,
Implore l’essaim blanc (continuer...)
Implore l’essaim blanc (continuer...)
Les corbeaux
Les Effarés
Les étrennes des orphelins
Les Mains de Jeanne-Marie
Les Pauvres à l’église
Parqués entre des bancs de chêne, aux coins d’église
Qu’attiédit puamment (continuer...)
Qu’attiédit puamment (continuer...)
Les poètes de sept ans
Les Premières Communions
Les remembrances du vieillard idiot
Les reparties de Nina
Les soirs d’été…
Les soirs d'été, sous l'oeil ardent des devantures
Quand la sève frémit sous (continuer...)
Quand la sève frémit sous (continuer...)
Les Stupra
Les anciens animaux saillissaient, même en course,
Avec des glands bardés de (continuer...)
Avec des glands bardés de (continuer...)
L’Éclatante victoire de Sarrebrück
Remportée aux cris de Vive l'Empereur !
(Gravure belge brillamment coloriée, (continuer...)
(Gravure belge brillamment coloriée, (continuer...)
Ma Bohème
Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait (continuer...)
Mon paletot aussi devenait (continuer...)
Marine
Mémoire
Mes petites amoureuses
Michel et Christine
Zut alors, si le soleil quitte ces bords !
Fuis, clair déluge ! Voici l'ombre (continuer...)
Fuis, clair déluge ! Voici l'ombre (continuer...)
Morts de Quatre-vingt-douze
Morts de Quatre-vingt-douze et de Quatre-vingt-treize,
Qui, pâles du baiser fort (continuer...)
Qui, pâles du baiser fort (continuer...)
Nuit en enfer
J'ai avalé une fameuse gorgée de poison. - Trois fois béni soit le conseil qui (continuer...)
Ô saisons, ô chateaux
Ophélie
Oraison du soir
Je vis assis, tel qu'un ange aux mains d'un barbier,
Empoignant une chope à fortes (continuer...)
Empoignant une chope à fortes (continuer...)
Paris
Patience
Poison perdu
Première soirée
Qu’est-ce pour nous mon coeur …
Qu'est-ce pour nous, mon cœur, que les nappes de sang
Et de braise, et mille meurtres, (continuer...)
Et de braise, et mille meurtres, (continuer...)
Rages de Césars
L'homme pâle, le long des pelouses fleuries,
Chemine, en habit noir, et le cigare (continuer...)
Chemine, en habit noir, et le cigare (continuer...)
Rêvé pour l’hiver
Roman
Sensation
Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler (continuer...)
Picoté par les blés, fouler (continuer...)
Soleil et chair
Le Soleil, le foyer de tendresse et de vie,
Verse l'amour brûlant à la terre (continuer...)
Verse l'amour brûlant à la terre (continuer...)
Tête de faune
Vénus Anadyomène
Comme d'un cercueil vert en fer blanc, une tête
De femme à cheveux bruns fortement (continuer...)
De femme à cheveux bruns fortement (continuer...)
Voyelles
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,
Je dirai quelque jour vos (continuer...)
Je dirai quelque jour vos (continuer...)