François Fabié, poèmes et poésie

Berger d’abeilles

Le doux titre et l'emploi charmant :
Être, en juin, un berger d'abeilles,
Lorsque (continuer...)

A toute autre saison je préfère l'automne ;
Et je préfère aux chants des arbres (continuer...)

Laboureur ! - Il n'était, ne voulut jamais être
Que laboureur ; - un beau laboureur, (continuer...)

Les genêts, doucement balancés par la brise,
Sur les vastes plateaux font une (continuer...)

La neige tombe par les rues,
Et les moineaux, au bord du toit,
Pleurent les graines (continuer...)

En te voyant toute mignonne,
Blanche dans ta robe d'azur,
Je pensais à quelque (continuer...)

Face au midi, bien adossée
A l'ancien étang féodal
Dont elle épaule la chaussée,
Elle (continuer...)

A Madelaine F.
Un jardin tout planté de poiriers en plein vent,
Auxquels (continuer...)

Héroïque, elle aussi, de coeur haut, de bras ferme,
La veuve paysanne à qui, (continuer...)

Vieillir, se l'avouer à soi-même et le dire,
Tout haut, non pas pour voir protester (continuer...)

Oui, partout elle est bonne et partout elle est belle,
Notre terre de France aux (continuer...)

Elle perdit d'abord et par degrés sa voix
Qu'elle avait chaude et grave, émue (continuer...)