Jules Laforgue
Oeuvres poétiques
Aquarelle en cinq minutes
Arabesques de malheur
Au large
Clair de lune
Penser qu'on vivra jamais dans cet astre,
Parfois me flanque un coup dans l'épigastre.
Ah (continuer...)
Parfois me flanque un coup dans l'épigastre.
Ah (continuer...)
Complainte de l’oubli des morts
Complainte du pauvre corps humain
Complainte sur certains ennuis
Dans la rue
C'est le trottoir avec ses arbres rabougris.
Des mâles égrillards, des femelles (continuer...)
Des mâles égrillards, des femelles (continuer...)
États
Ah ! ce soir, j'ai le coeur mal, le coeur à la Lune !
Ô Nappes du silence, étalez (continuer...)
Ô Nappes du silence, étalez (continuer...)
Figurez-vous un peu
Oh ! qu'une, d'Elle-même, un beau soir, sût venir,
Ne voyant que boire à Mes (continuer...)
Ne voyant que boire à Mes (continuer...)
Guitare
L’hiver qui vient
Blocus sentimental ! Messageries du Levant !...
Oh, tombée de la pluie ! Oh ! (continuer...)
Oh, tombée de la pluie ! Oh ! (continuer...)
La cigarette
Oui, ce monde est bien plat ; quant à l'autre, sornettes.
Moi, je vais résigné, (continuer...)
Moi, je vais résigné, (continuer...)
La lune est stérile
La petite infanticide
Ô saisons d'Ossian, ô vent de province,
Je mourrais encor pour peu que t'y tinsses
Mais (continuer...)
Je mourrais encor pour peu que t'y tinsses
Mais (continuer...)
Nuage
Oh, laisse-moi tranquille, dans mon destin,
Avec tes comparaisons illégitimes (continuer...)
Avec tes comparaisons illégitimes (continuer...)
Petites misères d’août
Petites misères d’octobre
Octobre m'a toujours fiché dans la détresse ;
Les Usines, cent goulots fumant (continuer...)
Les Usines, cent goulots fumant (continuer...)
Simple agonie
Ô paria ! - Et revoici les sympathies de mai.
Mais tu ne peux que te répéter, (continuer...)
Mais tu ne peux que te répéter, (continuer...)
Soirs de fête
Veillée d’avril
Il doit être minuit. Minuit moins cinq. On dort.
Chacun cueille sa fleur au vert (continuer...)
Chacun cueille sa fleur au vert (continuer...)