Marceline Desbordes-Valmore, poèmes et poésie

À l’amour

Reprends de ce bouquet les trompeuses couleurs,
Ces lettres qui font mon supplice,
Ce (continuer...)

Non, ce n'est pas l'été, dans le jardin qui brille,
Où tu t'aimes de vivre, (continuer...)

On est moins seul au fond d'une église déserte :
De son père inquiet c'est la (continuer...)

(A Mlle Emilie Bascans)
Si j'étais assez grande,
Je voudrais voir
L'effet (continuer...)

Horloge d'où s'élançait l'heure
Vibrante en passant dans l'or pur,
Comme l'oiseau (continuer...)

Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête,
Plein de plume choisie, et blanc, (continuer...)

Maison de la naissance, ô nid, doux coin du monde !
Ô premier univers où nos (continuer...)

Pauvre exilé de l'air ! Sans ailes, sans lumière,
Oh ! Comme on t'a fait malheureux (continuer...)

Idole de ma vie,
Mon tourment, mon plaisir,
Dis-moi si ton envie
S'accorde (continuer...)

L'air était pur, la nuit régnait sans voiles ;
Elle riait du dépit de l'amour (continuer...)

Ma demeure est haute,
Donnant sur les cieux ;
La lune en est l'hôte,
Pâle (continuer...)

Ma mère est dans les cieux, les pauvres l’ont bénie ;
Ma mère était partout (continuer...)

Veux-tu recommencer la vie ?
Femme, dont le front va pâlir,
Veux-tu l'enfance, (continuer...)

Au docteur Veyne.
Si je pouvais trouver un éternel sourire,
Voile innocent (continuer...)

Un moment suffira pour payer une année ;
Le regret plus longtemps ne peut nourrir (continuer...)