Nérée Beauchemin
Oeuvres poétiques
Claire fontaine
Crépuscule rustique
La profondeur du ciel occidental s'est teinte
D'un jaune paille mûre et feuillage (continuer...)
D'un jaune paille mûre et feuillage (continuer...)
Fleurs d’aurore
France
L’avril boréal
L’érable
L’idylle dorée
Au vent joyeux de la bonne nouvelle
L’étable s’ouvre; et sa merveille est (continuer...)
L’étable s’ouvre; et sa merveille est (continuer...)
La bonne France
La branche d’alisier chantant
La Glaneuse
Dans l'encadrement clair de la grand'porte ouverte,
Que le géranium tout odorant (continuer...)
Que le géranium tout odorant (continuer...)
La maison solitaire
Seule, en un coin de terre où plane la tristesse
Et le mélancolique et vague (continuer...)
Et le mélancolique et vague (continuer...)
La maison vide
Petite maison basse, au grand chapeau pointu,
Qui, d'hiver en hiver, semble s'être (continuer...)
Qui, d'hiver en hiver, semble s'être (continuer...)
La mer
Loin des grands rochers noirs que baise la marée,
La mer calme, la mer au murmure (continuer...)
La mer calme, la mer au murmure (continuer...)
La muse
La petite Canadienne
La Rédemptrice
La sauge écarlate
Le ber
Le branle du Sanctus
Dans l'air religieux des dimanches, ondulent
Ces accords, graves comme un angélus (continuer...)
Ces accords, graves comme un angélus (continuer...)
Le dernier gîte
Le fleuve
Depuis l'âge orageux des aurores premières
Où tout un ciel pleuvait sur un monde (continuer...)
Où tout un ciel pleuvait sur un monde (continuer...)
Le Laboureur
Le lac
Le rameau bénit
Le vieux parler
Les corbeaux
Les lys
La terre, qui les fait survivre, s’est fleurie
De ces grands lys de neige, au (continuer...)
De ces grands lys de neige, au (continuer...)
Lumière
Perdu dans les brouillards du sophisme et du doute,
Le monde, dans un noir tournoîment (continuer...)
Le monde, dans un noir tournoîment (continuer...)
L’hiver du rossignol
Ma France
Ma lointaine aïeule
Mère glorieuse
Notre terre
Patrie intime
Perce-neige
Québec
Comme un factionnaire immobile au port d'arme,
Dans ces murs où l'on croit ouïr (continuer...)
Dans ces murs où l'on croit ouïr (continuer...)
Rayons d’octobre (I)
Rayons d’octobre (II)
À peine les faucheurs ont engrangé les gerbes
Que déjà les chevaux à l'araire (continuer...)
Que déjà les chevaux à l'araire (continuer...)
Rayons d’octobre (III)
Écoutez : c'est le bruit de la joyeuse airée
Qui, dans le poudroîment d'une (continuer...)
Qui, dans le poudroîment d'une (continuer...)
Rayons d’octobre (IV)
Maintenant, plus d'azur clair, plus de tiède haleine,
Plus de concerts dans l'arbre (continuer...)
Plus de concerts dans l'arbre (continuer...)
Roses d’automne
Aux branches que l'air rouille et que le gel mordore,
Comme par un prodige inouï (continuer...)
Comme par un prodige inouï (continuer...)
Une Sainte
Vieille maison
Ne fut-il pas bâti par quelque duchesse Anne
Ce logis d'ancien noble et de petit (continuer...)
Ce logis d'ancien noble et de petit (continuer...)