Nicolas Boileau, poèmes et poésie

À mon jardinier

Laborieux valet du plus commode maître
Qui pour te rendre heureux ici-bas pouvait (continuer...)

(Sur la mort d'Iris en 1654.)
Parmi les doux transports d'une amitié fidèle,
Je (continuer...)

Grand roy, c'est vainement qu'abjurant la satire,
Pour toy seul desormais j'avois (continuer...)

Philosophes rêveurs, qui pensez tout savoir,
Ennemis de Bacchus, rentrez dans (continuer...)

Soupirez jour et nuit sans manger et sans boire;
Ne songez qu'à souffrir;
Aimez, (continuer...)

(Écrite à Bâville où était le P. Bardaloue, 1672.)
Que Bâville me semble (continuer...)

Au pied de cet autel de structure grossière
Gît sans pompe, enfermé dans une (continuer...)

Sans cesse autour de six pendules,
De deux montres, de trois cadrans,
Lutin, (continuer...)

Le dos chargé de bois, et le corps tout en eau,
Un pauvre bûcheron, dans l'extrême (continuer...)

Qui frappe l'air, bon Dieu ! de ces lugubres cris ?
Est-ce donc pour veiller qu'on (continuer...)

(Sonnet sur une de ses parentes qui mourût
toute jeune entre les mains d'un charlatan.)
Nourri (continuer...)

Ode Sur Un Bruit Qui Courut, En 1656,
Que Cromwell Et Les Anglais Allaient
Faire (continuer...)

Agréables jardins où les Zéphyrs et Flore
Se trouvent tous les jours au lever (continuer...)

(Sur sa comédie L'école des femmes.)
En vain mille jaloux esprits,
Molière, (continuer...)

Quand, la dernière fois, dans le sacré vallon,
La troupe des neuf soeurs, par (continuer...)

Voici les lieux charmants où mon âme ravie
Passait à contempler Silvie
Les (continuer...)