Paul Verlaine
Oeuvres poétiques
A Charles Baudelaire
Je ne t'ai pas connu, je ne t'ai pas aimé,
Je ne te connais point et je t'aime (continuer...)
Je ne te connais point et je t'aime (continuer...)
A Clymène
A la louange de Laure et de Pétrarque
À la promenade
À Madame ***
A un passant
Mon cher enfant que j'ai vu dans ma vie errante,
Mon cher enfant, que, mon Dieu, (continuer...)
Mon cher enfant, que, mon Dieu, (continuer...)
A une femme
A vous ces vers de par la grâce consolante
De vos grands yeux où rit et pleure (continuer...)
De vos grands yeux où rit et pleure (continuer...)
Adieu
Hélas ! je n'étais pas fait pour cette haine
Et pour ce mépris plus forts que (continuer...)
Et pour ce mépris plus forts que (continuer...)
Agnus Dei
Après la chose faite, après le coup porté
Après la chose faite, après le coup porté
Après le joug très dur librement (continuer...)
Après le joug très dur librement (continuer...)
Après trois ans
Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,
Je me suis promené dans le petit (continuer...)
Je me suis promené dans le petit (continuer...)
Art poétique
Asperges me
Moi qui ne suis qu'un brin d'hysope dans la main
Du Seigneur tout-puissant qui (continuer...)
Du Seigneur tout-puissant qui (continuer...)
Au bal
Autre (Impression fausse)
Beauté des femmes…
Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles
Qui font souvent le bien (continuer...)
Qui font souvent le bien (continuer...)
Billet à Lily
Bon pauvre, ton vêtement est léger
Cauchemar
Chanson d’automne
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout (continuer...)
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout (continuer...)
Chevaux de bois
Tournez, tournez, bons chevaux de bois,
Tournez cent tours, tournez mille tours,
Tournez (continuer...)
Tournez cent tours, tournez mille tours,
Tournez (continuer...)
Child Wife
Clair de lune
Colloque sentimental
Cythère
Dans la danse
Petite table enfantine,
il y a des femmes dont les yeux sont comme des morceaux (continuer...)
il y a des femmes dont les yeux sont comme des morceaux (continuer...)
Dans la grotte
Dans les Bois
D'autres, - des innocents ou bien des lymphatiques, -
Ne trouvent dans les bois (continuer...)
Ne trouvent dans les bois (continuer...)
Dans l’interminable …
De plus, cette ignorance de Vous !
En bateau
En septembre
En sourdine
Es-tu brune ou blonde ?
Été
Femme et chatte
Filles
Gamineries
Goûts royaux
Louis Quinze aimait peu les parfums. Je l’imite
Et je leur acquiesce en la juste (continuer...)
Et je leur acquiesce en la juste (continuer...)
Green
Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon cœur (continuer...)
Et puis voici mon cœur (continuer...)
Idylle high-life
Il pleure dans mon coeur
Impression fausse
Initium
Les violons mêlaient leur rire au chant des flûtes
Et le bal tournoyait quand (continuer...)
Et le bal tournoyait quand (continuer...)
J’ai presque peur, en vérité
Je ne sais pourquoi…
Kaléidoscope
L’amour par terre
Le vent de l’autre nuit a jeté bas l’Amour
Qui, dans le coin le plus mystérieux (continuer...)
Qui, dans le coin le plus mystérieux (continuer...)
L’angoisse
Nature, rien de toi ne m'émeut, ni les champs
Nourriciers, ni l'écho vermeil (continuer...)
Nourriciers, ni l'écho vermeil (continuer...)
L’enterrement
Je ne sais rien de gai comme un enterrement !
Le fossoyeur qui chante et sa pioche (continuer...)
Le fossoyeur qui chante et sa pioche (continuer...)
La lune blanche…
La rivière
La vie est bien sévère
Le ciel est, par-dessus…
Le foyer, la lueur étroite de la lampe
Le monstre de la fuite
Le monstre de la fuite hume même les plumes
De cet oiseau roussi par le feu du (continuer...)
De cet oiseau roussi par le feu du (continuer...)
Le paysage dans le cadre des portières
Le paysage dans le cadre des portières
Court furieusement, et des plaines entières
Avec (continuer...)
Court furieusement, et des plaines entières
Avec (continuer...)
Le poète et la muse
La Chambre, as-tu gardé leurs spectres ridicules,
O pleine de jour sale et de (continuer...)
O pleine de jour sale et de (continuer...)
Le soleil du matin
Le soleil du matin doucement chauffe et dore
Les seigles et les blés tout humides (continuer...)
Les seigles et les blés tout humides (continuer...)
Les Coquillages
Les indolents
Les ingénus
Les hauts talons luttaient avec les longues jupes,
En sorte que, selon le terrain (continuer...)
En sorte que, selon le terrain (continuer...)
Lettre
Éloigné de vos yeux, Madame, par des soins
Impérieux (j’en prends tous les (continuer...)
Impérieux (j’en prends tous les (continuer...)
L’adultère, celui du moins codifié
L’Allée
Fardée et peinte comme au temps des bergeries,
Frêle parmi les nœuds énormes (continuer...)
Frêle parmi les nœuds énormes (continuer...)
L’espoir luit comme…
L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable.
Que crains-tu de la guêpe (continuer...)
Que crains-tu de la guêpe (continuer...)
L’homme pauvre du cœur est-il si rare, en somme
L’homme pauvre du cœur est-il si rare, en somme ?
Non. Et je suis cet homme (continuer...)
Non. Et je suis cet homme (continuer...)
L’incroyable, l’unique horreur de pardonner
L’incroyable, l’unique horreur de pardonner,
Quand l’offense et le tort ont (continuer...)
Quand l’offense et le tort ont (continuer...)
Maintenant, un gouffre du Bonheur !
Mandoline
Marine
Mon rêve familier
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, (continuer...)
D'une femme inconnue, et que j'aime, (continuer...)
Monsieur Prudhomme
Il est grave : il est maire et père de famille.
Son faux col engloutit son oreille. (continuer...)
Son faux col engloutit son oreille. (continuer...)
Morale en raccourci
Une tête blonde et de grâce pâmée,
Sous un cou roucouleur de beaux tétons (continuer...)
Sous un cou roucouleur de beaux tétons (continuer...)
Mort !
Les Armes ont tu leurs ordres en attendant
De vibrer à nouveau dans des mains (continuer...)
De vibrer à nouveau dans des mains (continuer...)
Nevermore
Souvenir, souvenir, que me veux-tu ? L’automne
Faisait voler la grive à travers (continuer...)
Faisait voler la grive à travers (continuer...)
Ô triste, triste était mon âme
Õommage dû
Je suis couché tout de mon long sur son lit frais :
Il fait grand jour ; c’est (continuer...)
Il fait grand jour ; c’est (continuer...)
Pantomime
Partie carrée
Chute des reins, chute du rêve enfantin d’être sage,
Fesses, trône adoré (continuer...)
Fesses, trône adoré (continuer...)
Patte
Le chat s’établit dans la nuit pour crier,
Dans l’air libre, dans la nuit, (continuer...)
Dans l’air libre, dans la nuit, (continuer...)
Pierrot
Ce n'est plus le rêveur lunaire du vieil air
Qui riait aux jeux dans les dessus (continuer...)
Qui riait aux jeux dans les dessus (continuer...)
Pour Rita
Prière
Me voici devant Vous, contrit comme il le faut.
Je sais tout le malheur d'avoir (continuer...)
Je sais tout le malheur d'avoir (continuer...)
Promenade sentimentale
Le couchant dardait ses rayons suprêmes
Et le vent berçait les nénuphars blêmes (continuer...)
Et le vent berçait les nénuphars blêmes (continuer...)
Puis, déjà très anciens
Reddition
Régals
Rossignol
Comme un vol criard d'oiseaux en émoi,
Tous mes souvenirs s'abattent sur moi,
S'abattent (continuer...)
Tous mes souvenirs s'abattent sur moi,
S'abattent (continuer...)
Sappho
Furieuse, les yeux caves et les seins roides,
Sappho, que la langueur de son désir (continuer...)
Sappho, que la langueur de son désir (continuer...)
Sérénade
Soleils couchants
Spleen
Sur l’herbe
Sur le balcon
Toutes deux regardaient s'enfuir les hirondelles :
L'une pâle aux cheveux de jais, (continuer...)
L'une pâle aux cheveux de jais, (continuer...)
Tableau populaire
L’apprenti point trop maigrelet, quinze ans, pas beau,
Gentil dans sa rudesse (continuer...)
Gentil dans sa rudesse (continuer...)