Victor Hugo
Oeuvres poétiques
À l’Arc de triomphe
À la belle impérieuse
À maman
Mon coeur me dit que c'est ta fête
Je crois toujours mon coeur quand il parle (continuer...)
Je crois toujours mon coeur quand il parle (continuer...)
À Théophile Gautier
Ami, poète, esprit, tu fuis notre nuit noire.
Tu sors de nos rumeurs pour entrer (continuer...)
Tu sors de nos rumeurs pour entrer (continuer...)
A une femme
Enfant ! si j'étais roi, je donnerais l'empire,
Et mon char, et mon sceptre, et (continuer...)
Et mon char, et mon sceptre, et (continuer...)
À une jeune fille
Pourquoi te plaindre, tendre fille ?
Tes jours n'appartiennent-ils pas à la première (continuer...)
Tes jours n'appartiennent-ils pas à la première (continuer...)
Aimons toujours ! Aimons encore
Après l’hiver
N'attendez pas de moi que je vais vous donner
Des raisons contre Dieu que je vois (continuer...)
Des raisons contre Dieu que je vois (continuer...)
Après la bataille
Mon père, ce héros au sourire si doux,
Suivi d'un seul housard qu'il aimait entre (continuer...)
Suivi d'un seul housard qu'il aimait entre (continuer...)
Au peuple
Il te ressemble ; il est terrible et pacifique.
Il est sous l'infini le niveau (continuer...)
Il est sous l'infini le niveau (continuer...)
Autre guitare
Comment, disaient-ils,
Avec nos nacelles,
Fuir les alguazils ?
- Ramez, disaient-elles.
Comment, (continuer...)
Avec nos nacelles,
Fuir les alguazils ?
- Ramez, disaient-elles.
Comment, (continuer...)
Aux arbres
Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme!
Au gré des envieux, la foule loue (continuer...)
Au gré des envieux, la foule loue (continuer...)
Aux champs
Je me penche attendri sur les bois et les eaux,
Rêveur, grand-père aussi des (continuer...)
Rêveur, grand-père aussi des (continuer...)
Aux morts du 4 décembre
Jouissez du repos que vous donne le maître.
Vous étiez autrefois des coeurs troublés (continuer...)
Vous étiez autrefois des coeurs troublés (continuer...)
Bêtise de la guerre
Ce que c’est que la mort
Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez.
On voit ce que je vois et ce que (continuer...)
On voit ce que je vois et ce que (continuer...)
Ce siècle avait deux ans
Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte,
Déjà Napoléon perçait (continuer...)
Déjà Napoléon perçait (continuer...)
Célébration du 14 juillet dans la forêt
Chanson (VII, 6)
Clair de lune
La lune était sereine et jouait sur les flots. —
La fenêtre enfin libre est (continuer...)
La fenêtre enfin libre est (continuer...)
Claire
Quoi donc ! la vôtre aussi ! la vôtre suit la mienne !
O mère au coeur profond, (continuer...)
O mère au coeur profond, (continuer...)
Crépuscule
L'étang mystérieux, suaire aux blanches moires,
Frisonne; au fond du bois la (continuer...)
Frisonne; au fond du bois la (continuer...)
Dans la forêt
De quoi parlait le vent ? De quoi tremblaient les branches ?
Était-ce, en ce doux (continuer...)
Était-ce, en ce doux (continuer...)
Demain, dès l’aube…
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, (continuer...)
Je partirai. Vois-tu, (continuer...)
Guerre civile
La foule était tragique et terrible ; on criait :
À mort ! Autour d’un homme (continuer...)
À mort ! Autour d’un homme (continuer...)
Guitare
Il fait froid
Il lui disait : Vois-tu..
Il lui disait : « Vois-tu, si tous deux nous pouvions,
L'âme pleine de foi, le (continuer...)
L'âme pleine de foi, le (continuer...)
Je prendrai par la main les deux petits enfants
Je prendrai par la main les deux petits enfants ;
J'aime les bois où sont les (continuer...)
J'aime les bois où sont les (continuer...)
Je respire où tu palpites
Jour de fête
L’Enfant
Les turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil.
Chio, l'île des vins, n'est (continuer...)
Chio, l'île des vins, n'est (continuer...)
L’expiation
La Chouette
Une chouette était sur la porte clouée ;
Larve de l’ombre au toit des hommes (continuer...)
Larve de l’ombre au toit des hommes (continuer...)
La Cicatrice
Une croûte assez laide est sur la cicatrice.
Jeanne l’arrache, et saigne, et (continuer...)
Jeanne l’arrache, et saigne, et (continuer...)
La Coccinelle
La conscience
Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes,
Echevelé, livide au milieu (continuer...)
Echevelé, livide au milieu (continuer...)
La mort du chien
Un groupe tout à l’heure était là sur la grève,
Regardant quelque chose à (continuer...)
Regardant quelque chose à (continuer...)
Le doigt de la femme
Dieu prit sa plus molle argile
Et son plus pur kaolin,
Et fit un bijou fragile,
Mystérieux (continuer...)
Et son plus pur kaolin,
Et fit un bijou fragile,
Mystérieux (continuer...)
Les Canaris
Les deux îles
Les femmes sont sur la terre…
Les fusillés
... Partout la mort. Eh bien, pas une plainte.
Ô blé que le destin fauche avant (continuer...)
Ô blé que le destin fauche avant (continuer...)
Les griffonnages de l’écolier
Charle a fait des dessins sur son livre de classe.
Le thème est fatigant au point, (continuer...)
Le thème est fatigant au point, (continuer...)
Lise
J'avais douze ans ; elle en avait bien seize.
Elle était grande, et, moi, j'étais (continuer...)
Elle était grande, et, moi, j'étais (continuer...)
Lorsque l’enfant paraît
Lorsque l’enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris ; son (continuer...)
Applaudit à grands cris ; son (continuer...)
Mors
Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ.
Elle allait à grands pas moissonnant (continuer...)
Elle allait à grands pas moissonnant (continuer...)
Novembre
Je lui dis : La rose du jardin, comme tu sais, dure peu ;
et la saison des roses (continuer...)
et la saison des roses (continuer...)
Nuits d’hiver
Nuits de juin
L'été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte
La plaine verse au loin un parfum (continuer...)
La plaine verse au loin un parfum (continuer...)
Ô mes lettres d’amour, de vertu, de jeunesse
Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse,
C'est donc vous ! Je m'enivre encore (continuer...)
C'est donc vous ! Je m'enivre encore (continuer...)
Oceano Nox
Oh ! combien de marins, combien de capitaines
Qui sont partis joyeux pour des courses (continuer...)
Qui sont partis joyeux pour des courses (continuer...)
Paris bloqué
Ô ville, tu feras agenouiller l'histoire.
Saigner est ta beauté, mourir est ta (continuer...)
Saigner est ta beauté, mourir est ta (continuer...)
Pepita
Premier mai
Tout conjugue le verbe aimer. Voici les roses.
Je ne suis pas en train de parler (continuer...)
Je ne suis pas en train de parler (continuer...)
Printemps
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, (continuer...)
Voici le printemps ! mars, (continuer...)
Quand les guignes furent mangées…
Sara la baigneuse
Soirée en mer
Soleils couchants
J'aime les soirs sereins et beaux, j'aime les soirs,
Soit qu'ils dorent le front (continuer...)
Soit qu'ils dorent le front (continuer...)
Ultima verba
Une nuit à Bruxelles
Vénus
Ciel ! un fourmillement emplit l'espace noir,
On entend l'invisible errer et se (continuer...)
On entend l'invisible errer et se (continuer...)
Voeu
Voici que la saison décline
Voyons, d’où vient le verbe ? Et d’où viennent les langues ?
Voyons, d'où vient le verbe ? Et d'où viennent les langues ?
De qui tiens-tu (continuer...)
De qui tiens-tu (continuer...)