Jean-Pierre Villebramar, poèmes et poésie

Rue des Écoles

« Monsieur mon Passé, laisse-moi passer... »
monsieur mon passé
je t'écris (continuer...)

De la grande promenade donnant sur la baie, ce jour où les nuages d'octobre s'étaient (continuer...)

"this is the night of endless nights (voici la nuit des nuits sans fin)"
Cynthia
ton (continuer...)

Peu importe que je sois triste
si tu existes
que pèsent les heures
si tu existes
que (continuer...)

Siècle d'or
Il y eut Adolf, Joseph et Benito,
avant eux : Francisco !
par (continuer...)

Le jour des morts, (un deux novembre), des oiseaux, s'envolant par bandes,
des (continuer...)

"l'espoir, ce perce-neige..."
Villebramar
je me souviens
c'était le solstice (continuer...)

à M...
« queda la palabra « Yo »
para esa,
por triste, por su atroz (continuer...)

"mon sort, c'est un ciel qu'un rideau m'empêche de voir" *
Sur la vitre, tombe (continuer...)

Mer secrète.
Promesse d'un matin de printemps,
soleil d'été, feuilles d'automne, (continuer...)

à Maria Mercedes Carranza
"le silence de ces espaces infinis m'effraie"
Blaise (continuer...)

J'écoute le chant du monde
la guitare de Atahualpa
la chanson de Joan Baez
ou (continuer...)

À l’heure où se voile la nuit
Tropique du Cancer
Il me revient en mémoire (continuer...)

"j'aime mon bonheur, il me ressemble,
étranger lui-aussi, et autiste"
Issa Hassan (continuer...)

« el grito deja en el viento
una sombra de cipres
dejadme en este campo
llorando
le (continuer...)

il porte avec lui sa colère de dix ans,
l'emmène dans les couloirs lui cogne (continuer...)

"je l'ai prise entre mes bras blancs
elle a pleuré comme un enfant"
d'après (continuer...)

"c'étaient amis que vent emporte"
Rutebeuf
J'ai mis d'autan
juste ce qu'il (continuer...)

A Burgos, on fusillait !
A Madrid, on fusillait !
A Barcelone, on dansait !
La (continuer...)