– » Bayonne ! Un pas sous les Arceaux,
Que faut-il davantage
Pour y mettre son héritage
Ou son coeur en morceaux ?
Où sont-ils, tout remplis d’alarmes,
Vos yeux dans la noirceur,
Et votre insupportable soeur,
Hélas ; et puis vos larmes ? «
Tel s’enivrait, à son phébus,
D’un chocolat d’Espagne,
Chez Guillot, le feutre en campagne,
Monsieur Bordaguibus.
Paul-Jean Toulet, Contrerimes
J’aime Bayonne !!! vive le jambon !
Magnifique !