Je m’attache aux pulsations des villes
A leur existence mouvementée
Je respire dans leurs espaces verts
Je me glisse dans leurs ruelles
J’écoute leurs peuples de partout
J’ai aimé les cités Le Caire ou bien Paris
Elles retentissent dans mes veines
Me collent à la peau
Je ne pourrai me passer
D’être foncièrement :
Urbaine.
Andrée Chedid
Poème inédit commandé par le Printemps des Poètes 2006
Parfait pour exposer, je recommande, je surkiffe. Etant connaisseuse dans ce domaine je vous le conseille.
Beau comme Paris. Magnifique.
Bonjour, comme vous êtes nombreux à vous demander quel était le recueil de ce merveilleux poème et bien je crois que c’est : « Le Musée Grévin ». J’espère que je vous ai aidé…
Bonjour, quelqu’un sait dans quel receuil ce merveilleux poème a été enregistré.
J’ai cité ces vers pour présenter une toile.
J’ai bien sûr mentionné ma source d’inspiration!
Elle fait la légende de cette peinture dans mon site.
Je ne pourrai me passer
D’être foncièrement :
Urbaine.
Bonjour, j’adore ce poème, cependant je ne trouve pas la date de publication. Est-ce que quelqu’un la connaîtrait ?
Magnifique!
Une grande dame au cœur ouvert sur l’autre, dans les pulsations des villes, ici.