L’allée est silencieuse
Je n’entends pas les oiseaux ce matin
Cette fois tous les arbres sont verts autour de la gare
Un mécanisme de vérité s’est mis en route inexorablement
Voilà pourquoi je ne comprends plus rien
Ce printemps ne ressemble plus à celui où j’étais fidèle à toutes mes femmes
J’attends l’heure éternelle de volupté
Semblable à la délicatesse des sens
Qui occupait l’espace d’une vie
La joie n’aura plus jamais sa place maintenant
C’est l’heure de la folie destructrice
Que nous attendons tous
Edgar Georges, 1999
Titiller l’âme ou émouvoir des sentiments rappelle encore une fois qu’on est toujours vivant et bien réel. Merci pour ce partage.
il est très spécial ,mais vachement interessant je l’aime à 90% LOL