À ma fée

Christophe Bregaint

Amour
Rêve avec moi
Car je crève sans toi
Quand disparaissent tes atours
S’élèvent des ciels noirs griffant mes mers
Et le glaive de ton absence en moi s’insère….

Ma belle
Muse de vers
Toi, tu es sentinelle
De mes nuits libres de l’enfer
Abri oxydant, le soleil de l’est
Se levant sur ton tendre sourire céleste….

Tes yeux,
Illimitable
Lagon silencieux
Chatoiement incommensurable,
Où se reflète l’immortalité..
De l’obscurité de nos nuits de voluptés….

En rimes
Mes mots rêveurs
Sur les tiens s’impriment
Pour devenir vagabonds conteurs
De mes tristesses quand je suis sans toi
Et de l’ivresse du temps passé dans tes bras.

Christophe Bregaint, 2011

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32 commentaires sur “À ma fée”

  1. traoré

    dit :

    Méga beau

  2. Olympe

    dit :

    La beaute est belle et fragile .

  3. Daouda

    dit :

    C’est émouvant

  4. R

    dit :

    Très beau poème. C’est vraiment magnifique.

  5. Quelqu’un qui adore la poésie

    dit :

    Whaou, je n’ai rien a dire a part que c’est MAGNIFIQUE !!! C’est triste et amoureux, j’ai failli pleurer si je ne m’était pas empêchée ! Incroyable c’est tout !
    Ce poème est beau
    Même mes mots
    N’expriment pas ça
    Tout le monde pleure même mon chat

    Bref, le poème est sensationnel !

  6. PASCAL marie-josé

    dit :

    Un texte sensible et profondément humain dans son élan vers l’autre, cette « fée » capable d’enchanter le poète, les poèmes d’amour ne seront jamais démodés.

  7. mdr

    dit :

    Très beau poème

  8. Bamba sylvie

    dit :

    Trop beau

  9. Tonygleb

    dit :

    C’est le seul bien qui me reste au monde : pleurer !

  10. Girardot

    dit :

    Muse de vers
    Ce ne serait pas plutôt « Muse de verre »

  11. romain mudumbi

    dit :

    Magnifique ce poeme. Ca donne de l’impression mais aussi une leçon morale.

  12. Marine

    dit :

    Ce poème est tout simplement magnifique ! Merci beaucoup pour ce bon moment passé à le lire!

  13. sana delarentro

    dit :

    Ô douce, belle, honnête cruauté,
    Qui doucement me contraint de te suivre,
    Ô fière, ingrate, et fâcheuse beauté,
    Avec toi je veux mourir et vivre.
    Merveilleux poéme

    Mercie beaucoup.

  14. Lo

    dit :

    Très beau poème.

  15. Lonmadon Thierry

    dit :

    Superbe

  16. verolalaina

    dit :

    Très touchant poème…

  17. Chehrazad

    dit :

    Trop magnifique j’ai eu la chair de poule en le lisant.

  18. basike

    dit :

    j’adore

  19. borel

    dit :

    Parfois, l’homme a tjrs Une Tete Bien Faite en s’inspirant coe-ca…

  20. El Fuego

    dit :

    Triste amère délicieux fabuleux nostalgique
    Affreusement touchant émouvant
    Je l’ai savouré
    Et j’ai adoré
    Merci et plus encore

  21. axel

    dit :

    Merci pour ce merveilleux poème.

  22. Ndiaya niang

    dit :

    Ce poème me donne des frissons !

  23. Otabek

    dit :

    C’est super! Cette poésie m’a séduit!

  24. leyla atila

    dit :

    J’aime tous les poemes où l’artiste écrit ses sentiments, où il jette sur le papier sa douleur, tellement triste qu il les jette d’un coup. Je suis impresionné par cet artiste qui a du talent et sais exprimer sa douleur.

  25. brice london

    dit :

    Adieu le stress qui
    m’a escorté jusqu’au
    porte de ce poème .
    je suis recouvert de liesse
    depuis l’instant que
    je l »ai lu .
    il est
    pharamineux .
    il est un mélange de nostalgie et d’enthousiasme.

  26. burg

    dit :

    je souhaiterais savoir de quel recueil est issu ce poème et à quel mouvement appartient christophe-bregaint ?

  27. Marie

    dit :

    Je suis touchée.
    C’est vraiment beau j’en ai pleuré

  28. Anonyme

    dit :

    Ce poéme me laisse sans mots

  29. jakob tristan

    dit :

    génial fabuleux extraordinaire

  30. Bregaint jean-Paul

    dit :

    on aurait aimé l’écrire !!
    Bravo de la part d’un (tres ancien) cousin !!

  31. andrea

    dit :

    c’est magnifique j’en ai presque pleuré

  32. Vénus

    dit :

    Bravo je ne peux rien dire mes mots sont timides devant la grandeur des tiens

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