Le soir pisse sur les trottoirs
Temps de s’asseoir au bar et de s’abreuver du houblon des étoiles
Qui viennent s’écraser, errantes,
A l’orée de la forêt
Là où des chevaliers cavalent pieds et poings liés
…Dans la soie de la loi
Qui voile la conscience disséminée
La sonnerie du portable retentis
Tout cela n’est qu’un flash
Haché par la frénésie de la vie parisienne…
Christophe Bregaint