Dans un prisme de sable aux arêtes sans âge
Un saphir de soleil serti d’un fil de chair
Brise en éclats le ciel d’où s’effrite un éclair
Dont la bouche de feu vient mourir sur la plage.
La pyramide en grain d’une dune au mouillage
Coule le long des mains comme un ruisseau dans l’air
Et couvre de sa soie une étoile au teint clair
Que l’horizon câlin rouille à son babillage.
Sous un tulle de glace un souffle de sel pur
Caresse la rondeur d’une larme d’azur
Et fuit sous le frisson d’une plume de lune.
Un vitrail de silice enflamme le désert
Puis l’ombre d’un calice au silence disert
Passe comme un instant sous un dais de fortune.
Francis Etienne Sicard, Lettres de soie rouge, 2011
Franchement super
Pure merveille de poésie. Pénétrer dans ces mots divins permet de mieux l’approcher. Un style particulier qui me rejoint…
Tu tapes calice sur internet et tout ira bien. Je suis sur que tu en es capable. On ne donne pas son avis sur les objets qu’on ne comprend pas.
Ce poème est nul, trop difficile à comprendre et à apprendre. Sincèrement qui sait ce qu’est un calice ? PERSONNE ! C’est incompréhensible, les phrases n’ont pas de sens entre elle.
Plus que désastreux ! Après le « Londres au crépuscule » que j’ai déjà commenté, ce poète nous gratifie d’un nouvel écrit totalement incompréhensible ! Je suis abasourdi par les autres commentaires qui laissent « bouche bée » !
Incroyable, ce sonnet m’émerveille …!
J’avoue ne pas avoir toujours compris les paroles de ce poème mais il est magnifique. Vraiment. Les sonorités, les mots, incroyablement émouvant.
Peut-être parce que tout le monde est resté bouche-bée devant tant de merveilles…
Pourquoi il n’y a pas de commentaire sur un poeme aussi sublime ?