Une dentelle s’abolit
Dans le doute du Jeu suprême
A n’entrouvrir comme un blasphème
Qu’absence éternelle de lit.
Cet unanime blanc conflit
D’une guirlande avec la même,
Enfui contre la vitre blême
Flotte plus qu’il n’ensevelit.
Mais chez qui du rêve se dore
Tristement dort une mandore
Au creux néant musicien
Telle que vers quelque fenêtre
Selon nul ventre que le sien,
Filial on aurait pu naître.
Stéphane Mallarmé
La flamme de mon coeur est ravivée…
J’ai 79 ans mais ces mots mettent le feu en mon corps que je croyais endormi à tout jamais; Ne désespérez pas, une étincelle remet le feu !
Et alors ? Je n’ai pas encore 70 balais, mais j’espère bien pouvoir continuer à jouir (ne serait-ce que de la vie…) quand j’aurai atteint cet age respectable. Messieurs les censeurs de tous poils (…) la sensualité, n’est pas l’apanage de la jeunesse !
Génial.. Tout simplement
J’aime beaucoup le commentaire de conico, je partage le même avis.
C’est très sexuel dit donc claudette !
j’ai 70 ans mais ce poème allume une flame a ma sensualité