Dans les nuits d’automne, errant par la ville,
Je regarde au ciel avec mon désir,
Car si, dans le temps qu’une étoile file,
On forme un souhait, il doit s’accomplir.
Enfant, mes souhaits sont toujours les mêmes :
Quand un astre tombe, alors, plein d’émoi,
Je fais de grands voeux afin que tu m’aimes
Et qu’en ton exil tu penses à moi.
A cette chimère, hélas ! je veux croire,
N’ayant que cela pour me consoler.
Mais voici l’hiver, la nuit devient noire,
Et je ne vois plus d’étoiles filer.
François Coppée, L’Exilée (1877)
J’ai toujours cru que c’était un poème récent et que celui qui l’avait écrit était un ado très poétique (si si, ça existe encore aujourd’hui !). Quand j’ai découvert que ce poème datait de 1877, j’ai été extrêmement surprise car il me rappelais ma propre histoire et mes propres vœux que je confiais aux étoiles étant enfant. Comme quoi l’amour n’a pas d’âge !
J’aime ce poème, car j’ai une bonne relation avec les étoiles. Quand je suis énervé je regarde le ciel afin de réaliser mon souhait
Un reflet céleste de notre vie. Naissance, vie, espérance, mort. Chacun en fait son interprétation personnelle. Pourtant, comme la vie, elles restent bréves et furtives..
J’aime
Ce poème me donne le gout de vivre les jours nouveau. Je suis fou des etoiles, à travers je trouve la consolation, mon coeur est gaie, joyeux. Oui, mon inspiration, ce sont des etoiles filantes. Je kiffe !
La tristesse est pourtant poétique. C’est un sentiment noble, tout comme l’Amour inspire et est poétique.
Ce poème est trop beau et en plus moi j’aime trop les étoiles. Pour moi, ce poème est simplement magnifique!
pour moi je trouve sa plutôt triste et nn poetique
C’est magnifique. Franchement je voudrais pouvoir écrire un poème comme ça!