Le générique de fin déroule son texte
Avec une lourdeur précise
impitoyable
Mon nom a déjà été effacé
Je n’avais pas prévu
Mon présent se vit dans le néant
Ma vie s’évapore, ma détresse aussi
Je respire les premiers brouillards de la nuit
Avec joie je ressens l’indéfini
Sybille Rembard, 2011
superbe ; nous n’avons pas les mêmes valeurs mon petit Bruno
avec le temps beaucoup de choses prennent une forme en arrondi
Marie Vlieghe
beau et angoissant, merci
Indicible, ineffable, voilà mon sentiment face à votre oeuvre…
je trouve ce poème cour certes, mais qui en dit long sur quelque chose de tout a fait inconnu.
Je vous l’emprunte pour un devoir sur les plus beau textes d’auteurs malheureusement peut célèbre car nouveaux.
Surtout soyez sans crainte votre nom et prénom ainsi que la date seront inscris au bas du poème, je ne me l’approprierais pas.