Je marchais seul
par dessus les étoiles
et crachais le feu
que les hommes pleurent encore
Je vivais comme un Etre
démuni d’espérance
et soufflait dans le vide
jusqu’à ne plus souffrir
J’éprouvais tous les maux
comme on aime les autres
et soulevait l’Ordalie
sur un Géant d’Acier
Je dormais sans dormir
dans les limbes d’antan
et voyageait sans vivre
au firmament d’un corps
Je parlais mille langues
inconnues et immondes
et me réveillait nu
au milieu de l’Aurore
J’avais encore espoir
que le temps m’abandonne
et voulais terminer
avec l’infiniment perdu
Winston Perez
Quelle est la date de ce poème ?
C’est de la poésie à l’état pur, j’adore. Merci de l’avoir écrit!
Trop bien ce poème ! Epoustouflant… Merci…
J’adore
Je trouve magnifique aussi ce poème, il me transporte littéralement.
J’aime beaucoup ce poète
Quelqu’un saurait la date de parution de ce poème…? je ne la trouve nulle part.
Quelqun connait-il la date de publication de ce poème, s’il vous-plait ?
Un poème agréable pour commencer la journée…Merci…
Ce poème est époustouflant ! Les mots sont écrits de la main d’un poète, on se croit rêvé ou oublié parmi tout le sens poétique.
la poésie du guitariste saltimbanque ne perdait l’ oeuvre
et si je dormais sans le livre à la main
je suivais j’ aurais à ma peine
juste comme de l’ ivoire
epée et fourche
car je dormais sous un frène ajusté à ma taille