Horloge d’où s’élançait l’heure
Vibrante en passant dans l’or pur,
Comme l’oiseau qui chante ou pleure
Dans un arbre où son nid est sûr,
Ton haleine égale et sonore
Dans le froid cadran ne bat plus :
Tout s’éteint-il comme l’aurore
Des beaux jours qu’à ton front j’ai lus ?
Marceline Desbordes-Valmore, Elégies
Quel magnifique poème ! Quelle grande poétesse ! Cette horloge qui ne bat plus symbolise pour moi le temps qui s’est arrêtée qui rythmait l’attente, peut-être d’un amoureux, et dont le battement était comme le chant d’un oiseau, parce que l’attente accompagnait un moment heureux.
Incompréhensible, nul, horrible…
Koikoubé: on a hâte de lire vos vers. Ils doivent être bien meilleurs.
Très minable comme texte. Très triste…
Merci !
Très bien! J’ai adoré ❤