Rêvez, poussins de l’univers,
Aux doux parfums des fleurs champêtres…
Rangez vos armes de pervers
Tuant le plus beau de votre être !
Pauvres enfants, avez-vous su
Jamais combien l’amour transforme
Un combat de jiu-jitsu
En une danse hors la norme ?
Et vous « gros durs », terreurs des rues,
Songez un peu que l’avenir
Ferme sa porte à votre vue,
Car il ne peut que vous punir !
Heureux le bon, celui qui donne,
Car il ne vole qu’à l’air pur :
On l’aimera pour sa personne
Quand le méchant va droit au mur !
Jean-Charles Dorge, L’Exil du jour, 2008
« Jamais combien l’amour transforme
Un combat de jiu-jitsu »
pas compris
Magnifique, aérer et rythmé