Un jour j’ai transpercé le vent et la Nature s’est mise à pleurer
Aucun signe distinct, aucune incandescence
Aucune marche funèbre qui ne puisse brûler
Alors je suis parti, tout droit vers l’Espérance
Et revoir l’Hologramme droit devant moi briller
Et défier les Dieux de toutes les croyances
Et torturer le Soleil et l’Infinie Beauté
Le vent devenu Aigle
La terre fixant son Démon
Et ce visage de nature tièdi par l’horizon
L’épée s’est posée sur mon ventre
sans répandre le sang
Et l’Orient s’est ouvert aux 4 éléments
Nature, Ô Nature
décide du sort des hommes
Demain ou bien Jamais
Nature fixe ton sort
Winston Perez, 2002
Magnifique. Merci de m’avoir fait voyager en lisant ces vers tellement harmonieux. Merci pour le fabuleux rêve!