Renaissance
De nouveau tu te présentes
Jardin juxtaposé, trouble de la sève
T’emparer du corps
Du cerveau au thorax tu veux scanner son esprit
Les larmes coulent sur le visage d’une femme
Elle sait
Elle connaît la vérité de la solitude
Elle respire la décadence
Imminente
Elle crie son amour
Tentacules méprisants s’entortillant autours des ganglions
Sans pitié tu convoites tout l’être
Il t’attend depuis toujours
Depuis le jour où tu es parti avec son odorat
Ne lui laissant plus absorber le parfum du monde
Rendant chaque jour immanquablement le dernier
Sybille Rembard, 2009
Bonjour
Je recherche l’auteur de ces quelques vers….
« ton sourire éclate sous ton silence….
Où sont tous tes rêves d’adoslescence »
« Le jour viendra où ils devront répondre de leurs actes….
Ces saints du diable qui ont pris ton sein intact »
CANCER! ce mot effroyable, ce mot qui fait peur! Bah il ne faut pas… NON! Le vaincre quand toutefois il n’est pas trop tard… espérer chaque jour! Avancer pas à pas même si certains jours c’est très difficile et surtout surtout n’écouter que soi même! Personne ne peut être dans « votre » corps! Personne ne peut ressentir votre mal être quotidien! Bon courage à tout ceux qui ont cette « maladie » comme moi… et pour finir je ne crois qu’à ce que je vois… et je ne crois qu’en moi! point! 🙁
Un poème touchant sur le cancer (la maladie bien sur) quand on voit l’écrit on comprend de suite ou alors est-ce parce que je connais que trop bien. En tout cas bravo à l’auteur.
Quel bande d’ignares… comment peut on être aussi simple d’esprit au point de ne pas faire la part en astrologie et cancerologie ! Soyez heureux simples d’esprit.
Très beau poème, mais pk parle-t-il du signe d’astrologie?
Il s’agit bien de la maladie nommée « Cancer » et non pas du signe astrologique !!
louisxv2015 – Ce poème peut être interpréter différemment. Personnellement je pense qu’il s’agit de la maladie et non pas du signe astrologique !
Je suis de signe astrologique cancer et je vais très bien donc c’est un poème extrêmement pessimiste.
J’aimerais savoir de quel recueil est tiré « Cancer » de Sybille Rembard, quelqu’un le serait-il ?
Ce poème dit bien ce que nous vivons. Cet ‘alien’ comme l’appelait Fallaci, vit en nous.
Cancer, quand tu nous tiens, jamais tu lâchera ma main, et sa je le sais trop bien. cg