Adieu mes jours enfants, paradis éphémère !
Fleur que brûle déjà le regard du soleil,
Source dormeuse où rit une douce chimère,
Adieu ! L’aurore fuit. C’est l’instant du réveil !
J’ai cherché vainement à retenir tes ailes
Sur mon coeur qui battait, disant : » Voici le jour ! «
J’ai cherché vainement parmi mes jeux fidèles
A prolonger mon sort dans ton calme séjour ;
L’heure est sonnée, adieu mon printemps, fleur sauvage ;
Demain tant de bonheur sera le souvenir.
Adieu ! Voici l’été ; je redoute l’orage ;
Midi porte l’éclair, et midi va venir.
Ondine Valmore
Pour les personne qui cherche sa date, le poème a été publié en 1833.
J’ai beau chercher, je ne trouve pas quand ce poème a été publié.
Quand a été publié ce poème ?
Quelqu’un m’expliquera-t-il le commentaire dudit sta Line ? Le rapport avec hitler et l’enfance perdu m’échappe quelque peu.
Ce poème représente parfaitement le troisième Reich d’Hitler.
Tout bonnement splendide. Ce poème nous montre que l’enfance ne dure qu’un temps. Juste… splendide. Je frissonne
Bravo ! Je l’ai appris au collège.
Magnifique ! Ondine Valmore décrit merveilleusement bien l’enfance éphémère, que l’on essaie de retenir et qui file très vite malgré les tentatives de la retenir… avec l’effroi que l’on peut ressentir de rentrer dans l’age adulte… Très beau !
Trop bien! En même temps c’est difficile pour les enfants.
C’est très joli, mais si un jeune enfant lit ça il ne va pas comprendre.
Quand est sorti ce poème ?
Très très jolie…
quand est sortie ce poème ?
C’est joli !