Vous avez déserté le jardin de l’enfance,
Votre vie est ailleurs, loin de moi, loin d’ici ;
Pourtant je pense à vous, toujours, en permanence,
Je tremble à chaque instant de crainte ou de souci.
Je vous protège encore et malgré les distances,
Je vous couvre en secret d’attentions, de douceur,
De tendresse et de soin, d’amour et de confiance,
Je prie pour vos succès et pour votre bonheur.
Quelques fois, je l’avoue, mon cœur souffre en silence,
Devant la chambre vide imbue de souvenirs…
Il ne regrette rien… il pleure votre absence
Et l’envie qu’il aurait de vous voir revenir.
Isabelle Callis-Sabot
Ce poème est magnifique. La nostalgie nous gagne et remplie nos yeux de larmes. Merci.
Bonjour, ce poème a été publié en 2013. Recueil : « Des poèmes pour rêver », Mon petit Editeur. Ce livre, épuisé, a été réédité chez Nombre 7 Editions en janvier 2021.
Bonjour j’aimerais savoir quand est ce que le poème a été publié. Merci
Mon fils est entrain de l’apprendre (CM2)… Et il aime beaucoup ❤️ …. magnifique poème.
Magnifique et tellement vrai. Merci beaucoup !
Merci d’avoir su écrire le ressenti de la maman, lors de l’envol de ses enfants (ce syndrome du nid vide) qui m’a fait plonger dans la dépression.
Je n’ai pas trop aimé
Je sais maintenant que je ne suis pas la seule à être triste devant la chambre vide de mes garçons ou de ne plus entendre leur voix de ne plus les voir jouer ou d’être près de leurs copines de les savoir aimés et de ne plus les regarder
J’ai adore ce poème. J’ai compris comment une mère se sent lorsque sa petite famille quitte la maison. Je sais que ma mère a peur que nous partions et j’ai peur de la laisser.
Exactement ce que je cherchais. Merci.
Je reconnais à travers le texte mes ressentis de maman pour mes enfants et mes petits enfants. Merci pour avoir su trouver les bons mots.
Emouvant moment, ce poème lu ,en cette fin d’année,résonne intensément! Merci à Mme Isabelle Callis-Sabot.
De la tendresse, de la nostalgie sans la tristesse, de l’amour aussi. Très beau poème ! Merci de cet instant dans lequel on peut se reconnaître…. Magda
Une merveille ce poème!
Bravo ! j’ai cru que c’était du Victor Hugo.
Merci à l’auteur, car je ne pourrais trouver les mots!!!