Orphée

Guillaume Apollinaire

Admirez le pouvoir insigne
Et la noblesse de la ligne :
Elle est la voix que la lumière fit entendre
Et dont parle Hermès Trismégiste en son Pimandre.

Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée, 1911

Imprimer ce poème

2 commentaires sur “Orphée”

  1. Guillaume Apollinaire

    dit :

    Tres beau poeme

  2. Zip file

    dit :

    Trop cool

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *