Puces, amis, amantes même,
Qu’ils sont cruels ceux qui nous aiment !
Tout notre sang coule pour eux.
Les bien-aimés sont malheureux.
Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée, 1911
Puces, amis, amantes même,
Qu’ils sont cruels ceux qui nous aiment !
Tout notre sang coule pour eux.
Les bien-aimés sont malheureux.
Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée, 1911
C’est du lourd, court mais ça en dit. Parfait. *clap*