Jetant son encre vers les cieux,
Suçant le sang de ce qu’il aime
Et le trouvant délicieux,
Ce monstre inhumain, c’est moi-même.
Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée, 1911
Jetant son encre vers les cieux,
Suçant le sang de ce qu’il aime
Et le trouvant délicieux,
Ce monstre inhumain, c’est moi-même.
Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée, 1911