Ce chérubin dit la louange
Du paradis, où, près des anges,
Nous revivrons, mes chers amis,
Quand le bon Dieu l’aura permis.
Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée, 1911
Ce chérubin dit la louange
Du paradis, où, près des anges,
Nous revivrons, mes chers amis,
Quand le bon Dieu l’aura permis.
Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée, 1911