Sur les courbes de son épaule,
Pour me plaire, je les isole,
Ces morceaux de paix qui s’envolent,
Vers l’ivresse à fuir le contrôle,
Sur ses joues, gardiennes de flammes,
Je découvre là, en me penchant,
Les fleurs qui reflètent son âme,
La paleur de l’arum qui se sent,
Dans le creux de sa paume sucrée,
Où ma main retrouve son abri,
La protégeant de toutes les pluies,
Et la réchauffe des vents passés,
Dans ses bras, je me suis donc posé,
Pour entendre ce chant, cet écho,
Celui du cœur qui secoue ses os,
L’hymne qui garde tous ses secrets.
Mathieu Cauchie
C’est quoi la date de ce poème?
Sublime comme ma chérie Melissa
J’aime beaucoup, c’est très beau.