Un rêve de bonheur qui souvent m’accompagne,
C’est d’avoir un logis donnant sur la campagne,
Près des toits, tout au bout du faubourg prolongé,
Où je vivrais ainsi qu’un ouvrier rangé.
C’est là, me semble-t-il, qu’on ferait un bon livre.
En hiver, l’horizon des coteaux blancs de givre ;
En été, le grand ciel et l’air qui sent les bois ;
Et les rares amis, qui viendraient quelquefois
Pour me voir, de très loin, pourraient me reconnaître,
Jouant du flageolet, assis à ma fenêtre.
François Coppée
Très beau poème, mon ami et qui demande réflexion
J’adore tout simplement !
Poème constructif pour le cours de religion
Je l’adore ! Je l’adopte !
Super ! Je le prends pour mon DM
Ce poème se trouve dans le recueil « Promenades et Intérieurs » qui est sorti en 1872.
Tres bo poème !
Le bonheur à l’état pur
En quelle année est écrit ce poème ?
Est-ce que ce poème date du 19ème ?
Très beau poème, il donne envie de le vivre