Puisqu’il n’y aura pas de lendemain commun
le ciel qui nous berce ne semblant pas le même
puisque le temps qui coule érode nos chemins
avec peu d’égards pour les graines que l’on sème.
Puisque j’aurais aimé replonger dans tes yeux
te parler de mon coeur, écouter tes tirades
dormir tout contre toi, se balader à deux
et voir le monde ensemble pour le rendre moins fade.
Puisque si tu voulais pleinement me revoir
tu saurais proposer une clé à ce puzzle
faire jour là où tu vois encore trop noir
et décider d’aller plus loin que sur le seuil.
Puisqu’à toi je me suis peu à peu dévoilée
puisque j’ai confronté tes troubles réticences
je raye en moi l’envie sourde de te retrouver
car je me dois de faire preuve de clairvoyance.
Cécile Carrara
Bonjour, serait il possible de savoir qui est la poetesse Cecile Carrara ?
Magnifique ! Bravo. Un poème plein de profondeur sur les difficultés d’aimer.
Moi aussi, ce poème me parle, il résonne avec ce que je vis, merci à l’auteur !
Très beau poème mais quand a t-il été publié ?
Bonjour, quelqu’un peut me dire quand est-ce que ce poème a été publié ?
Le poème date de quand ?
Une pensée lumineuse parle ici aux êtres qui aiment la vie.
Magnifique poème
Waouh! super!
Merci!
Puissant et perspicace est ce poème. Merci …
Très beau poème, qui curieusement semblait me parler… si je pouvais comme vous arriver à mettre des mots sur ce que je ressens,peut être qu alors je trouverai la vie plus facile. Merci