A vous ces vers de par la grâce consolante
De vos grands yeux où rit et pleure un rêve doux,
De par votre âme pure et toute bonne, à vous
Ces vers du fond de ma détresse violente.
C’est qu’hélas ! le hideux cauchemar qui me hante
N’a pas de trêve et va furieux, fou, jaloux,
Se multipliant comme un cortège de loups
Et se pendant après mon sort qu’il ensanglante !
Oh ! je souffre, je souffre affreusement, si bien
Que le gémissement premier du premier homme
Chassé d’Eden n’est qu’une églogue au prix du mien !
Et les soucis que vous pouvez avoir sont comme
Des hirondelles sur un ciel d’après-midi,
– Chère, – par un beau jour de septembre attiédi.
Paul Verlaine
Très beau et excellent poème. Paul Verlaine, tu demeures un Monument historique….. Je le dédie à ma femme
Poème ambigu d’un être torturé et dechiré. C’est un texte de souffrance très narcissique. Seule l’architecture des mots colorés est appréciable.
Un Tres beau poeme
Merci ! Le poème est bon surtout pour sa forme, mais pour le fond vous avez semblé oublier certaines notions de la poésie. Par exemple, la notion de « rimes » est ici un peu négligé et si elle est là c’est à 20%. Et on se demande sur la nature du poème: il engourage la femme? Il stigmatise les vices de la femme? Il trace une voie pour la femme?… ou il expose juste la femme? Loin de tout ça, vous avez du talent, car être poète c’est un talent naturel et le poète se montre fort quand il extériorise et surtout sait bien exploiter son talent… Vous n’êtes pas minime dans la matière.
Je pense sincèrement que ce poème est dédié à sa Muse qui peut être aussi bien selon ses propres penchants pour un homme ou une femme. Une Muse car de toute façon le poète écrit toujours au travers d’une Muse ce qu’il ressent de ses sentiments, la page n’est elle pas par excellence la mieux à qui confier ses sentiments?
Sacré verlaine ! J’aimerais pouvoir l’apprendre par coeur. tu as marqué le passé et le présent continue d’apprécier ton talent. Tu es infiniment bon.
Tres joli poeme! Mon prof a adoré! !
Y a t’il un tableau qui pourrait correspondre a ce poème ?
un aveugle ne voit , il ressent donc paradoxalement il voit
la femme est toujours le sel de cuisine.
Je l’aime et je vais la dedier à ma petite cherie
Cool, je l’ai offert à ma maman !
Verlaine était homosexuel et le poème montre bien l’ambiguïté du poète .j’aime bien:)
jeu lé lu ä ma meuf pour la sein valantein ! élle ä surkifé ! ZEUB !
Très jolie poème
Je fais de ce poème un texte slam