Les poèmes des riens tout juste quelques cœurs
Dès la naissance
Dispersés dans le souffle du temps
Nos menteurs mots
Qu’est-ce qu’on écrit à passer sa jeunesse
Mais
Des yeux à pleins d’ardeurs
Place une marque sur la page
Lue devant l’auditoire frivole
La satisfaction grande possession et heureuse passion
Pour cette page comme une lune jour de grand vent
N’attendons-nous pas vainement
Robert Tirvaudey