« días en que hablar,
es escuchar lo perdido.
Il y a des jours où parler,
est écouter ce qui est perdu. »
Carlos Andrés Jaramillo
Comment échapper au tumulte de la vie
vivant
au silence de l’amour
inquiet des nuages noirs sur la mer
aux sourires du temps
figés en leur jeunesse
comment attendre la lumière du matin
quand les oiseaux se taisent ?
Il y a tant de cris que je n’entends plus
tant d’appels sans écho
tant d’oiseaux sans nid
tant d’êtres sans terre
Terre Promise, je t’ai écrite au futur,
c’était il y a peu.
Que sont devenues tes promesses ?
Villebramar, 2018