Avec l’étonnement de mes regards, je vis,
Le chœur des beaux rayons de lune aux tons bleuis.
Et mes regards étaient stupéfaits et ravis…
Avec mes yeux ouverts grandement je les vis.
C’est pourquoi maintes fois, au hasard d’une veille,
Ouvert sur l’infini, mon regard s’émerveille.
Renée Vivien, Dans un coin de violettes, 1910
Magnifique poème