Elle t’a laissée
cette vie qui n’y a jamais cru
à l’indolence
nue sur la plage
au beignet sans remords
Toi tu n’as toujours vu
que la chute le plaisir de trop
là dans ces vagues qui s’avancent
le risque de noyade
Et sur ce corps vieux pour ton âge
seuls tes deux seins osent encore
prétendre à la caresse
à la volupté de l’adolescence
Bertrand Naivin
C’est un bon poème
Je n’avais jamais entendu parler de ce poète. J’aime beaucoup. Je suis moi-même poétesse et sensible à ce thème
Difficile de ne pas aimer…
Cool