Avec tes yeux je change comme avec les lunes
Et je suis tour à tour et de plomb et de plume,
Une eau mystérieuse et noire qui t’enserre
Ou bien dans tes cheveux ta légère victoire.
Paul Eluard, Capitale de la douleur, Les petits justes, 1926
Avec tes yeux je change comme avec les lunes
Et je suis tour à tour et de plomb et de plume,
Une eau mystérieuse et noire qui t’enserre
Ou bien dans tes cheveux ta légère victoire.
Paul Eluard, Capitale de la douleur, Les petits justes, 1926
C’est lumineux, merveilleux, avec des mots simples.