Garder le mystère de ton âme
Comme si rien ne finissait
Au creux de tes mains retenues
A l’aube rétive
Comme si rien ne finissait
A côté, juste à côté
De ton cœur épars
Et sentir la pesanteur du gouffre
Où sombrent les silences sans recours
Ephraïm Jouy