Travaillez, prenez de la peine :
C’est le fonds qui manque le moins.
Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins.
Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l’héritage
Que nous ont laissé nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ dès qu’on aura fait l’Oût.
Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse.
Le père mort, les fils vous retournent le champ
Deçà, delà, partout ; si bien qu’au bout de l’an
Il en rapporta davantage.
D’argent, point de caché. Mais le père fut sage
De leur montrer avant sa mort
Que le travail est un trésor.
Jean de La Fontaine
Le travail est un trésor oui le travail libère l’homme
Ce livre est très bien parce que j’ai commencé à le lire au début de la troisième année du primaire. Je l’ai beaucoup aimé car c’était un livre qui avait une bonne compréhension jusqu’à ce livre que j’ai continué à lire jusqu’à la sixième année du secondaire.
I am 70 years old. Working in the kitchen and the first four verses of this poem came back to my consciousness. Thank you…
J’ai 27ans aujourd’hui et cette récitation c’est la seule que je mémorise correctement depuis le primère en 2007.
Rappelez-moi ce que ça veut dire « C’est le fonds qui manque le moins. »
Ce poème était l’un de mes meilleurs poème lorsque je fus élève à l’école primaire, je me souviens comment j’avais cette velléité de le réciter.
Ce matin ce poème m’est revenu en tête. Je pense l’avoir appris à l’école primaire dans les années 1940 en France. Quelques mots m’échappaient, alors recours à Google. Merci, un vrai plaisir .
Ce poème est le phare de la mer. Il a été substantiellement fort bien analysé par VAUTIER Françoise le 17/09/2022
Un poème universel. Je l’ai appris en 1968 et je le récite à chaque fois pour mes enfants.
Quel souvenir ! Quel poète !
Quelle morale ! Malheureusement trop souvent oubliée aujourd’hui…
Revenez M.Jean de la Fontaine, les écoles ont encore besoin de vous !
Apprendre à bon nombre de jeunes les valeurs du travail.
Apprendre également à nos dirigeants que ce n’est pas à ceux qui ont béché la terre depuis l’âge de 14 ans de la bécher jusqu’à la mort, mais d’inculquer les valeurs du travail aux plus jeunes, et surtout à tous!
Revenez vous leurs expliquer.
Encore merci.
Je me souviens en 5ème année de l’école primaire, mon professeur nous a bien expliqué et ça m’a fait plaisir d’avoir eu le diplôme d’état.
Merveilleux poème.
Lorsque je joue ce poème, je le souviens de mon enseignant de la cinquième primaire. Maître André.
J’ai eu des larmes aux yeux, qui ne cessent de couler, en lisant ce poème prodige ! Je l’avais récité en classe primaire, en 1961 (pleine guerre). Quelle nostalgie, de le relire! Malgré que c’était déjà encré dans ma mémoire, je ne cesse de le prodiguer aux tiers, à chaque occasion de dèbat.
Je suis trop touché par la profondeur de chaque vers de cette poèsie. Écrire c’est leguer une verité à la génération future, dit-on.
Ce poème a bercé mon école primaire. Il fallait le réciter avant d’entrer en classe.
Franchement je ne savais pas l’importance de cette récitation en primaire. Maintenant j’ai grandi et je vois le vrai sens de cette récitation. Coût de chapeau à l’auteur de cette récitation.
Belle et instructive fable. A dix ans ma prof, nous en avait fait comprendre le bon sens. J’ai toujours été fier du travail bien fait par moi, mais aussi et même plus chez les autres travailleuses et travailleurs. Tout ça avec le bon esprit qui accompagne cette belle leçon de vie.
Cependant, avec l’esprit d’un diable qui l’a aussi pointu que pertinent. La réalité nous oblige à reconnaitre qu’aujourd’hui le temps des seigneurs existe et perdure toujours. Puisque le peuple est obligé de faire grève, de se faire même massacrer aux flash-bols. Écrire qu’il faudrait leurs couper… Non pas le cou, comme avaient fait nos ancêtres ressens, pour leur réapprendre les bonnes manières, mais les placer pelles et pioches en mains pour refaire les routes de France. Nous devrions pouvoir vivre très bien sans être obligé de travailler et subir les galères. Après ce stage, ils auraient plus de respects, qu’ils n’ont pas aujourd’hui. Puisque des voyous peuvent gangréner un gouvernement sans problème. Et nous ne serions plus en bagarre avec ses esclavagistes modernes. N’empêche j’adore les poètes et par exemple pour en revenir sur ce sujet « le coq et le renard » de Monsieur Jean de la Fontaine.
Bonjour je me présente je suis Lumière-Scintillante, du Congo. J’adore cette fable depuis que j’ai 2 ans. Je la lis et la relis au point que je la connais comme mes 4 doigts de la main. Quand j’étais à l’article de la mort, j’ai récité ce poème à mes enfants. Maintenant que je suis mort, je ne peux qu’espérer qu’ils ont compris le message. Mon père Nuit-Etoilé avait fait la même chose pour moi et mes 23 frères et sœurs, cela m’a beaucoup aidé dans mon deuil.
Merci Jean de La Fontaine, vous vivrez à jamais à travers vos écrits.
C’est très bien
Le texte est très instructif et je l’aime beaucoup car il a raison, le travaille est un trésor. J’ai 54 ans, j’ai lu ce bon texte informatif pour la première fois et je l’ai beaucoup aimé.
Cette poésie m’a été donnée en punition !
Moi depuis la 5ème année j’ai mémorisé ce poème. C’est vraiment cool.
Oh la un souvenir de l’école primaire un chanson plein d’enseignement. C’est maintenant que je comprends les paroles de ce poème.
En lisant cette récitation, je balade dans les années 70… sur une table avec mon encrier tâché en violet, devant un tableau noir et mon maître tenant la règle en bois dans sa main… c’était vraiment la meilleure et belle époque de ma vie… tout a changé… hélas!
J’aime bien, cela prouve le désire de partage avec nos enfants.
Je suis fier d’avoir été enseigné ce récit à l’école primaire, Jean La Fontaine vie en nous; j’apprécie et j’applaudis ta mémoire.
C’est une belle histoire et je l’adore.
C’est vraiment une belle leçon de vie. C’est après 30 ans que j’ai su de quoi parlait cette poésie. Aujourd’hui c’est la terre qui fait notre force et la terre ne ment pas.
J’aime beaucoup l’histoire elle est très instructive
J’aime ce texte car, en le lisant tu va comprendre les clés de la vie.
Depuis que j’ai 4 ans j’adore cette récitation. Et je continue maintenant que j’ai 11 ans aujourd’hui elle m’a beaucoup aidé.
C’est une bonne histoire. Je l’adore vraiment, c’est très instructif, je vais l’utiliser en classe moi aussi.
Ca va m’aider en classe
Le texte est très instructif et je l’aime beaucoup car il a raison, le travaille est un trésor.
Malgré l’évolution ou la continuité de mes études, je n’oublierai jamais ces écrits que j’avais appris en sixième. Ça me motive.
Mon père de 90 ans, atteint de la maladie d’Alzheimer, m’a dit dernièrement :
« Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants ». Il a ajouté « mince je sais plus… »
Je lui ai récité le texte en espérant que mon père reprenne avec moi une partie du texte. Mais non il a oublié tout le restant sauf « un riche laboureur… »
Le « travail » de ce cher La Fontaine – écrire des vers, aussi justes soient-ils – était tout de même assez loin de celui, beaucoup plus dur, des travailleurs des champs.
C’est vraiment longtemps. J’étais au CM2. Ils me manquent beaucoup ces moment précieux.
En 6e on avait le choix de choisir un des poèmes de Jean de la Fontaine et j’ai pris celle-là parce que c’est la poésie qui m’inspirent le plus.
Le travail est un trésor.
Très bonne la fable elle va m’aider en classe 😀
C’est un jolie texte. Très instructif, et je le ferai apprendre à mes petits frères et à mes enfants et les enfants de mes enfants….
C’est une bonne poème très intéressant de même que conseillant. Je l’adore vraiment.
Moi j’ai bien aimé mais c’est bien dommage de ne pas avoir aussi trouvé un trésor réel par exemple de l’or!
J’apprends de nouveau cette fable par cœur, bien sûr comme la plupart d’entre vous, je l’ai déjà appris à l’école primaire. Ce qui me plait c’est le peu de mots utilisés pour nous faire vivre tout un scénario. Quant à la morale, elle nous habite, elle nous désole aussi car ceux qui doivent l’apprendre ne lisent pas ce type de fable.
Quelle est genial
Ne soyez pas naif… cette fable n’a plus de raison d’être. Travaillez, prenez de la peine, c’est l’état qui vous en remerciera. Et ce trésor ne sera plus pour vous, mais pour ceux qui ont déjà le sous…..
Cette poésie est longue mais elle est très bien.
Beaux souvenirs d’enfance au primaire. Comme c’est nostalgique. Que de belles valeurs qui tendent à disparaître.
« Creusez, fouiller, bêchez » Pourquoi « Fouiller » avec ER
C’est une faute.
« Creusez, fouillez, bêchez » est la bonne forme.
Merci
J’aime trop l’histoire
C’est une très bonne récitation
Le texte est bien. Moi aussi je l’ai appris à l’école.
Le « trésor » est l’héritage donné par les parents ; non pas leurs biens matériels mais l’exemple des valeurs morales vécues au sein de la famille. L’exemple est le meilleur des enseignements.
BESURE Philippe:
« Creusez, fouiller, bêchez » Pourquoi « Fouiller » avec ER
C’est une faute.
« Creusez, fouillez, bêchez » est la bonne forme.
Merci
Ce poème est très intéressant. Ce que j’ai récité à l’examen de certificat du premier cycle 2006.
Ce texte me donne trop de courage.
Très belle récitation et très enrichissante !
Bonjour à vous, je voudrais savoir pourquoi, Fouiller prendre (er) tandis que les autres verbes (Creusez, Bêcher) ont été conjugués au présent de l’indicatif de la 3ème personne du pluriel ?
Ce pœme nous donne des idées très fortes.
Fouiller
C’est la clé de tout trésor caché
Et C’est un impératif futur après le décès du père.
Fouiller
Fouiller et
Fouiller toujours !
Fouiller est à l’infinitif comme il peut être au deuxième personne du pluriel.
Le texte nous fait savoir ceci: apprenner vous enfants à pêcher le poisson au-lieu de les en donner chaque jour!!!
« Creusez, fouiller, bêchez » Pourquoi « Fouiller » avec ER s’il vous plait? Parmi plus de 500 commentaires, je n’ai pas trouvé de réponse…
J’aime beaucoup ce poème.
Gabriel, à l’est de la RD Congo. Je me souviens quand on apprenait ce précieux poème, rien de tout que j’avais détenu ! Néanmoins, quelques années plus tard, je l’ai lu et relu, et j’ai trouvé qu’il symbolise non seulement les activités champêtres en image mais c’est UN GRAND Enseignement d’unité et surtout d’Amour. En dispersion, on ne peut rien réaliser !
J’aime beaucoup cette récitation, surtout : « creusez, fouillez, bêchez; ne laissez nulle place où la main ne passe et repasse. »
Pierre Lawal âgé de 28 ans : village natal Titila (Nord Cameroun).
J’ai appris à réciter cet poème de Jean de la fontaine en classe de cours préparatoire. Aujourd’hui je suis tellement intéressé par ce poème car ça me fait vivre le passé quand nous travaillons dans le champ de mon père avec plein d’ardeur et de courage.
Il était une fois, à Gueyedé, un petit village caché dans la forêt, à la limite du Liberia, dans le Département de Toulépleu, en Côte-d’Ivoire, mon pays. Mon maître de CM1, Monsieur Joachim Atte OKOGNY, nous ouvre le livre dit de lecture et met sous nos yeux, le poème: « Le laboureur et ses enfants ». Nous, ne sachant pas lire. Il le lit et nous l’explique. Rentré de l’école le soir, je regarde assis sur un tabouret dans la cuisine. Je lui reprends le poème. Et il m’a dit ceci. Moi, je n’ai eu la chance de connaître les écritures. Ton maître vient de te donner une leçon de vie. Garde la précieusement. C’est le meilleur cadeau que tu auras reçu de cet enseignant. Aujourd’hui encore, j’ai ce poème, je dirai sur le cœur. Un grand merci à celui qui l’a pense. Un grand merci également à celui qui l’a mis dans nos livres, donc celui qui l’a publié.
Un gros point négatif : que de fautes d’orthographe ! C’est affligeant pour une retranscription d’une fable. Un simple passage dans un traitement de texte corrigerait facilement tout cela.
Mon frère a récité ce poème à ses enfants présents dans sa chambre au moment de sa mort. C’est pour ça que j’ai voulu le retrouver en entier. C’est émouvant.
Tout d’un coup, je me suis souvenu de ce poème magnifique que j’avais récité à 11 ans et qui m’a beaucoup marqué.
Très bien, j’adore. J’aime cette poésie depuis mon enfance.
J’adore ce texte
Les poètes français ont seulement traduits en langue française les poésies grecque et égyptiens. C’est la tricherie et le plagiat !
Il y a des erreurs dans la poésie mais elle est bonne. Êtes vous sure que c’est « l’Oût »
Vraiment c’est le travail qui définit l’homme dans son ensemble et le détermine
J’aime bien cette poésie. Le travail est le plus beau des trésors de l’homme.
J’aime beaucoup
Ce poème me retiens beaucoup. J’ai aimé.