Travaillez, prenez de la peine :
C’est le fonds qui manque le moins.
Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins.
Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l’héritage
Que nous ont laissé nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ dès qu’on aura fait l’Oût.
Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse.
Le père mort, les fils vous retournent le champ
Deçà, delà, partout ; si bien qu’au bout de l’an
Il en rapporta davantage.
D’argent, point de caché. Mais le père fut sage
De leur montrer avant sa mort
Que le travail est un trésor.
Jean de La Fontaine
Ce poème me retiens beaucoup. J’ai aimé.
J’ai 22 ans, ce poème me donne souvent le courage d’être abouti au travail. J’apprécie bien ce poème pour son conseil. Le travail désigne ce que l’homme est.
Le travail est un trésor oui.! Mais surtout pour celui qui fait travailler les autres ! Le travail est tout simplement une galère pour survivre.
Merci. Cette histoire je l’ai connue au primaire en Algérie dans les années 90. Elle est restée dans ma tête. Chapeau !
J’ai aimé
Le Travail reste un trésor. Oui, le Travail hummanise l’homme, le travail valorise l’homme, le travail offre à l’homme l’immortalité d’une considérable importante dans la société. Le travail réalise ce qu’est l’homme.
Que le travail est un trésor peut aussi signifier que le travail est la source la plus sure de la richesse humaine. Vraiment un texte parfait ; Oh Jean de la fontaine, tu es l’immortel, vous avez motivé une multitude de générations dans le travail.
J’ai aujourd’hui 77 ans. J’ai mémorisé ce poème à l’école primaire. Il m’a beaucoup manqué et je rappelle de cela comme si c’était hier. J’ai appris cette fable à l’Age de 10 ans. Hommage à l’auteur Jean de la fontaine.
Plusieurs fois mon père nous a récité cette fable le soir lorsque nous mangions. Aujourd’hui j’ai 56ans et cela m’avait marqué.
J’ai aujourd’hui 64 ans. J’ai mémorisé ce poème à l’école primaire, il m’a beaucoup marqué, et je me rappelle de cela comme si c’était hier.
J’adore cette poésie
I learnt this poem when I was in grade 6, in Congo Drc bukavu, but I unfortunately I didn’t grow up there. After completing my grade 6 I then moved to South Africa.
Now I can’t even speak French anymore. But this poem really brings back a lot of memories with my childhood friends. God bless.
Quelle Belle Fable.
A cause de l’homme noir mon cerveau ne pouvait pas supporter la poésie, aujourd’hui j’ai 27 je rends grâce à dieu.
Je m’en souviens. J’avais 10/10 à l’examen d’entrée en 6eme. C’était beau. Aujourd’hui j’ai 36.
J’ai appris cette fable à l’âge de 9 ans. Aujourd’hui j’ai 70 ans, je m’en souviens toujours sans oublier les points et virgules.
J’avais dix ans que j’ai après cette poésie et maintenant j’ai 16ans
J’ai 44 ans j’ai récité cette poésie à l’âge de 12 ans à l’école primaire de Sanfina mon village natal, mais je n’est jamais oublié une virgule. Hommage à l’auteur Jean de la Fontaine.
Je l’ai pas appris à l’école mais avec mes frères quand j’avais 8 ans
J’ai 76 ans et je me rappelle encore d’une grande part de cette merveilleuse récitation.
J’avais 11 ans quand j’ai appris ce poème à l’école primaire. J’ai 53 ans maintenant et elle est gravée dans ma mémoire. J’ai eu de la chance à l’avoir récité plusieurs fois à l’école… Merci Jean de la fontaine.
J’avais 12 ans quand j’ai appris ce poème à l’école et maintenant j’ai 24 ans et je me souviens de mon enseignant de l’école primaire qui nous a poussé à le lire et le mémoriser par coeur. C’était un hyme national pour moi.
J’avais 7 ans quand j’ai appris cette poésie. J’ai 80 ans et cette poésie est gravée dans ma mémoire. Merci Jean de Lafontaine, une leçon de courage
Le travail ennoblit l’homme,dit-on. Dieu est aussi un travailleur. Ceci me fait comprendre qu’il faut aimer le travail. Ceux qui travaillent améliorent leurs conditions de vie. Merci cher Jean de la Fontaine.
J’ai bien aimé ce poème très instructif
Mon grand-père de 96 ans m’a fait découvrir dernièrement ce poème, que j’ai trouvé réaliste et très intéressant. C’est à force de travail que l’on peut obtenir tout ce que l’on souhaite et même plus encore. Merci à mon papé de m’avoir fait découvrir cette fable.
Bonjour, une petite faute d’orthographe s’est glissée dans le texte : Creusez, fouiller, bêchez ( fouiller est ici à l’impératif et devrait se terminer comme les deux autres verbes par « ez »).
J’ai 82 ans et j’ai joué ce poème en pièce de théâtre en colonie de vacances à 10 ans. Merci de l’avoir mis sur internet.
Quels sont les sous thèmes qui montrent que le laboureur encourage ses enfants ?
J’aime cette fable de La Fontaine…
Je suis content de lire cette poésie
Bonjour cette poésie est très belle mes elle a fait souffrir mon enfant
Cette poésie nous montre la valeur du travail et nous donne de la force de continuer la vie
Quand les auteurs contribuaient à l’éducation des peuples et pas que mais de toute l’humanité, les paroles de cet homme respectueux résonnent à ce jour, le travail reste une valeur intemporelle, c’est le travail qui garde la dignité de l’homme… le français n’est pas ma langue natale mais je l’ai apprise avec ce genre texte, à 33 ans je me souviens de ce texte mot par mot.
Hommage d’abord à l’auteur de la poésie de Jean Fontaine qui nous montre évidemment que le travail et le courage c’est le bon départ d’un homme.
J’aime beaucoup cette poésie.
Quand la connaissance est au bon rendez-vous et bon moment avec l’homme, de bons artisans ont toujours de quoi forger de bons caractères.
Belle Fable
Une véritable source d’éveil, respect a l’auteur de cette oeuvre
Une superbe poésie qui me donne la rage de continuer encore et encore
Cette fable est cool mais on dit dans la vie de fuir l’homme qui n’aime pas le travail.
Il est impératif que ce poème face encore le tour des foyers. Surtout en Afrique où la jeunesse penche beaucoup plus à la facilité qu’à l’effort.
Le travail est une trésor. Leçon de vie.
Le travail est un trésor.
Ce fable ne pas qu’un fable pour moi il y a un réel trésor caché, c’est devenu une vraie source de motivation pour moi et je félicite l’initiateur de ce poème.
J’ai eu de la chance d’avoir à réciter, à l’école pas mal de poèmes venant de tous ces écrivains portés sur la morale etc… ça me fait chaud au coeur de lire ici tant de commentaires à partir de la francophonie plus soucieuse du risque du délabrement de la langue française. Cela dit, je reste présent t observateur de ce qui se passe sur la toile. Merci.
Seul le travail rend la personne libre dans sa vie
Ma grand-mère me la récitait. Elle est née en 1899 et décédée en 1988. Je suis née en 1970. J’ai passé beaucoup de temps avec ma grand-mère. J’aimais beaucoup cette fable, d’autant plus que mes grand-parents et mes parents étaient agriculteurs. Je ne l’ai jamais étudiée à l’école mais mon fils l’a apprise au collège et j’ai réalisé que je la connaissais toujours par cœur ; ça m’a rappelé mes jeunes années. C’est formidable.
Une très bonne récitation et une leçon pour nos enfants pour palper la réalité de la vie.
Personnellemen je n’aime pas cette fable je la trouve dur a retenir et réciter. (;´༎ຶٹ༎ຶ`)
Cette fable peut être lue à différents niveaux de lecture.
Ainsi, si on en reste au niveau de la lecture littérale, alors, c’est la valeur du travail qui est mise en valeur, l’oisiveté étant source de bien des maux. Je ne vais pas rappeler ce qui a été dit par d’autres.
Maintenant, si on lit cette fable au 2e niveau de lecture (symbolique, allégorique, métaphorique etc.), on peut percevoir bien d’autres choses. Ainsi, un mot – comme « trésor » – bloque l’esprit de discernement de bien des gens qui l’assimilent automatiquement à la monnaie, à l’or … les amenant à une certitude : « il faut creuser pour le trouver ». En fait, cela nous indique qu’il ne faut pas toujours s’arrêter à l’idée qu’on se fait des choses, mais analyser les choses elles-mêmes et remettre en question ses certitudes qui nous aveuglent souvent. La « terre » qui va être retournée par ses fils, peut être cet « adamah » (mot terre en hébreu) qu’on peut traduire par « terre intérieure » à nous, que nous avons oublié de cultiver, ne privilégiant que le « moi égotique » au détriment du Soi. C’est en fait notre « Terre promise » (rappelez-vous l’histoire du peuple hébreu errant dans le désert durant 40 ans pour trouver la « Terre promise ». C’est donc le moment d’aller creuser, même avec ses mains, cette terre, car le mot « main » en hébreu, à la même racine que « Connaissance », donc, plus on creuse en nous-mêmes, plus on acquiert la Connaissance, cette vérité qui dort au fond de nous. Ainsi, celui qui cultivera sa terre intérieure, va y trouver un vrai trésor : « lui-même » ! Si le père est mort, ce sont les enfants qui vont renaître en le découvrant.
Il y aurait bien d’autres choses à dire, mais les fables sont un bon moyen de creuser cette partie de nous-mêmes qui dort trop souvent. Notre société est celle de l’avoir et du paraître, à nous de travailler à être.
Tres bon
Oui le travail n’est pas seulement un trésor caché. Mais aussi une Source de bénédiction que Dieu nous a légué. J’ai appris cela quand j’étais petit à l’école primaire vers les années 70. Maintenant j’accumule 56ans et ‘j’aime toujours le reciter’.
J’aî appris ce poème au cem émir Abd-el-Kader souk ahras Algérie 1976 chey professeur de français mr. Aouaidjia. Je n’ai pas oublié ce poème parce que j’habite à la campagne dans un petit village agricole appelé ain-seynour.
C’est l’une des fables de Jean de La Fontaine qui ont marqué mon enfance à l’école primaire. J’ai aimé ses vers tant dans leur forme que dans leur fond. Cette fable est aujourd’hui récitée même par un petit enfant qui ne l’a jamais étudiée dans son parcours scolaire et sert à édifier notre société.
C’était dans la classe de Monsieur Salla à l’école Sigwalt de bab el oued en 1953/1954. Une récitation qui est restée gravée, à ce jour de septembre 2021.
Oui exactement
Je l’ai appris à l’école communale en 1962. Aujourd’hui j’ai 73 ans est je la connais toujours par cœur, c’est la seule qui est restée gravée.
Rika Massalia commente plus haut « apprendre ce poème est trop dur ». Mais l’auteur vous demande seulement de réfléchir et de savoir que seul le travail paie, et non les trafics en tout genre, la magouille, et la flatterie de ceux qui « ont » ou ceux qui « sont »..
Wow! J’ai eu à memoriser ce poème depuis mon école primaire vers les années 93. Je ne savais pas réellement les profondeurs de ce texte. Mais depuis que je suis adulte, travaillant pour avoir une balance dans la vie, j’ai enfin bien compris que le travail est un trésor. Un peu du courage vous le fera trouver. Un père sage ne se souci pas de laisser l’argent à ses fils, mais le travail.
Cette fable de La Fontaine est une leçon que tout apprenant doit apprendre parce que ça nous éduque à travers nos capacités.
C’est vraiment une source d’inspiration et leur père fût vraiment Sage.
C’est mignon
Elle est super, mais quand on doit l’apprendre en peu de temps c’est trop dur.
J’adore cette poésie… même si je ne suis pas très littéraire ! Je dois faire une étude de texte dessus, je suis en 6ème et je fais école à la maison… surtout que depuis les derniers temps j’ai beaucoup de travail car j’ai pris du retard… alors ça m’encourage… et je voudrai bien finir mon travail avant la fin de l’année meme si je vais devoir travailler 2 fois plus car je voudrais bien pouvoir profiter des grandes vacances…
Ce texte me donne beaucoup de courage.
Nous avons appris ce magnifique fable de Jean la fontaine (rahimahou allah) a l’unique ecole de sidi khaled département de l’aurès a l’époque en 1958 avec un enseignant français qui faisait son service militaire (il s’appelle Filiol ive…. Je dis bien rahimahou allah.)
Jean de la fontaine, à travers ce texte, montre combien il est très important d’entreprendre quelque chose dans la vie. Non seulement, il faut Entreprendre mais il faut aussi rester prêt à surmonter les difficultés et autres. Et c’est en celà il disait à ces enfants :
« Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ dès qu’on aura fait l’Oût.
Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse. »
Il a toujours de bonheur que le travail, mais il faut avoir du courage , ne laissez jamais ce que vous avez entrepris à cause des difficultés, alors courage et endurance sont des qualités qui vous accompagnent toujours à la réussite. « Ne laissez nulle place où la main ne passe et repasse » ne permet à ce qu’aucune difficile ne vous atteigne. À partir de là, le travail devient un trésor.
Voilà une belle leçon de motivation
Travaillée sans se sentir la peine, tu avancera pour toute l’éternité, seul le travail qui différencie l’homme.
« C’est le fonds qui manque le moins ». Le fonds signifie le sol et la terre qu’on travaille et laboure en profondeur.
C’est ma mère qui m’a appris ce poème que je peux encore réciter par cœur 60 ans plus tard. Cette fable à été (comme beaucoup d’autres) inspirée par le fabuliste Grec ES0PE qui a vécu au… VIème siècle avant J.C ! Pourtant elle reste d’actualité. Oui, le travail est un remède efficace contre bien des maux.
On remarquera cependant que le personnage central de l’histoire (le père) dans les 2 textes distants de plus de 20 siècles fait partie d’une classe aisée de son époque. Qu’en est-il depuis quelques temps dans notre civilisation occidentale ? Certes le courage reste un capital quasi inépuisable et le travail ne manquerait pas pour améliorer le sort de l’humanité mais à quoi sert le courage du peuple si les ultra-riches ne veulent plus le rémunérer préférant spéculer que d’investir dans l’économie réelle ? Cela pourrait être un sujet de dissertation pour les baccalauréats littéraires.
Le travail : Instrument d’émancipation et de liberté ou bien d’aliénation et de soumission ? l’État doit-il jouer un rôle dans cette problématique ? Si oui, lequel ?
Mais quelle est belle
Mon père m’a fait copier cette poésie
Ce poème un magnifique
Une idée bien fondée sur des choses bonnes.
C’est une idée qui m’a toujours consolé en pensant aussi bien aux instructions que mon père me donnait.
Je dois le réciter à l école et je trouve que c’est chouette l’histoire.
Surtout en ce jour du 1er mai 2021, l’international du travail
Elle est un peu trop longue je dois la réciter demain (30/04/2021) à mon école.
je l’ai apprise à l’école primaire. Cela me rajoute du courage, j’adore.
C’est trop bien cette poésie. Je l’adore de ouf ❤