Travaillez, prenez de la peine :
C’est le fonds qui manque le moins.
Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins.
Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l’héritage
Que nous ont laissé nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ dès qu’on aura fait l’Oût.
Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse.
Le père mort, les fils vous retournent le champ
Deçà, delà, partout ; si bien qu’au bout de l’an
Il en rapporta davantage.
D’argent, point de caché. Mais le père fut sage
De leur montrer avant sa mort
Que le travail est un trésor.
Jean de La Fontaine
Je n’aime pas trop cette poésie. Elle est un peu difficile.
Il faut avouer aussi que c’est Ésope qui l’auteur et la Fontaine.
C’est une poésie que j’aime très bien et je ne veut pas que ça soit perdu dans ma tête. J’aime et je l’aimerai toujours.
Le travail paie toujours puisqu’il est dit: tu mangeras a la sueur de ton front.
Le travail est un trésor peut aussi signifier que le travail est la source la plus sûre de la richesse humaine. Par mon présent commentaire, je nous invite tous au travail. Travaillons aujourd’hui, travaillons demain et travaillons toujours. Par le travail, nous aurons notre trésor.
Le travail est une institution divine applicable au plan sociétal. Le travail nous éloigne : de la paresse, des vices et orgies charnelles, de l’oisivété, du manquement face à tout bésion de nécéssité, de la convoitise d’autrui, de la jalousie envieuse, du mépris de déshonneur, du déssaprentissage et de la médiocrité, du rabais moral et social. Cependant le travail en mème devrait rendre valeureux, honneur; le gage d’un vécu garanti. Autrement, l’activité humaine ne devrait point exclavagiser, l’individu pratiquant, ni moins le déshumaniser… c’est dire en principe qu’elle ne devrait point faire état des oeuvres à proscire, anarchistes donc illicites, immorales, ammorales, telles qu’Anti-Valeurs. Toutes oeuvres seraient des prévisions, des progrès pour l’avenir. NB: Cette fable de JEAN dela FONTAINE a aussi fait l’objet d’un examen de composition écrite à un concours cette fin d’année 2020, dans un pays de l’ouest de l’AFRIQUE pour certains autres candidats. Cette fable a des vers philosophiques.
Vraiment une des meilleures poesies.
Un travail bien fait sans rature. Un texte parfait et une idée parfaite. Jean de la fontaine, tu es l’immortel.
Vraiment, M. jean la fontaine merci pour l’effort. Vous avez motivé une multitude de générations dans le travail.
Vraimant le travail est un élément de suivi de l’homme. Je peux enfin conseillé les autres qu’ils doivent travailler et après le travail c’est l’indépendance, comme le dit Bernard Dadié.
Ma belle mère vient de me réciter cette belle poésie, les laboureur et ses enfants, et je précise quand même qu’elle a 92 ans, et sans se tromper.
Ce poème est un poème qui nous montre l’importance du travail. Par ce poème l’on comprend clairement que le travail est la clé de la réussite et le succès.
19,99 / 20, nikel, j’aime.
Bjr, je n’arrive pas à trouver le type de phrase dominant dans ce texte. Repérez et nommer les figures de style continues dans ce texte.
C’est le fond qui manque le moins ! Cette phrase dans ce poème que je n’oublie jamais jusqu’à ce jour, çà m’a donné des éfforts dans toutes ma vie.
Le travail est un trésor
Un bon motoculteur et c’est régler. Sans effort 😉
J’avais appris cette « récitation » en cm2.J ‘ai aujourd’hui 78 ans. Noel est là et je vais la glisser dans chaque paquet cadeau que j’offrirais à mes petits enfants. Bonnes fêtes à tous (tes).
Les solutions de facilité sont une tendance naturelle de l’esprit humain. Prendre conscience que c’est la loi des contraires qui régit notre univers « connu » est primordial, et imaginer que l’on obtient quoi que ce soit sans aucun effort ou sans aucune conséquence est une pure chimère !
Cela veut de ne pas regarder sur les moyens économiques de nos parents. Pour moi cette fable m’a beaucoup aidé à être plus motivé dans la vie, de prendre le courage d’affronter les moments difficiles. Merci beaucoup Jean de la Fontaine.
« Travaillez, prenez de la peine :
C’est le fonds qui manque le moins. »
« Que le travail est un trésor. »
Merci Jean de La Fontaine pour ce texte qui demeure toujours d’actualité.
Lorsque nous comprenons cette fable d’une manière littéraire, ça nous reveille, surtout nous les jeunes d’aujourd’hui qui n’aimons point travailler et de la Fontaine conclut en disant le travail est un tresor (richesse, l’argent).
Cette fable de la Fontaine, je la considère comme une nourriture appétissante pour le ventre affamé.
J’ai appris cette « fabuleuse » Fable de La Fontaine en classe de 7ème. Cela faisait partie de ces moments consacrés à l’époque à la « morale » (qui n’a jamais été un gros mot pour moi, j’ai 74 ans). Je la sais toujours et elle ne m’a jamais quitté. Elle fait partie de la « culture »… que j’ai essayé de transmettre à mes enfants. Heureusement ! car ce n’est pas l’école de la République qui s’en est chargée… Elle traverse l’éternel présent, tous les âges et tous les courants de pensées, même les plus sordides ne peuvent y résister… c’est une chance.
Bonsoir. Je voudrais savoir si quelqu’un a une explication sur ces vers:
Un riche Laboureur…. fit venir ses « enfants »…
Le Père mort, « les fils » vous retournent le champ…
Est-ce une consecration du dur labeur aux seuls hommes?
Du reste j’aime énormement cette fable, elle m’encourage chaque fois que je brule mes huiles de nuit.
Pour renforcer la Fable de la Fontaine, je pourrais dire en d’autres termes: Aide-toi et le Ciel t’aidera, soutiens-toi et le ciel te soutiendra, appuie-toi et le ciel t’appuiera, donne-toi et le ciel te donnera.
La Republique Centrafricaine te dit merci à la Fontaine. Seul le travail libère.
Plaisir de le relire, je l’ai appris en CM1. C’est resté en moi jusqu’au aujourd’hui. J’ai inculqué ces valeurs à mes enfants.
Quand je lis cette poésie je sens beaucoup d’émotions en moi qui essayent de s’exprimer. Émotions de joie.
C’est pour nous montrer, que c’est avec des mains noirs qu’on mange du pain blanc.
J’ai vraiment aimé ce poème surtout ces deux phrase :
– Travaillez, prenez de la peine :
– Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Je trouve en ces mots le courage, la persévérance. Car vaincre sans péril on triomphe sans gloire.
Ceci est plus qu’un poème car il a un sens profond du jour au lendemain et bâti une forteresse imprenable à l’oisiveté mais engendre un désir et un attachement profond à la richesse champêtre.
Il faut que la notion du travail retrouve tout son sens partout dans le monde.
Je reste sans mots face à cette Fable qui traverse les temps et époques. Hommage soit rendu à La fontaine pour toutes ces Fables aussi riches que variées et par ricochet Esope.
Grands enseignants, Morales de vie qui ont forgé et forgent encore les consciences sur plusieurs générations.
*Classe de Première A, véritable rentre avec le recueil complet des Fables dans mon petit Lycée à l’ouest de la Côte d’Ivoire. Bangolo, souvenirs enrichissants et éternels.
J’aime vraiment ce poème car ça permet à un homme d’avoir du courage pour le travail.
Pour Thimmy du 23 avril 2020 : tu as raison à aucun moment le père n’avoue que le travail est un trésor, il fait plus que l’avouer > » il le montre » et démontre en même temps sa part plus que verbale qui est active par sa démarche et son apport à faire découvrir ce qu’est le vrai bon travail puisque en soi il est aussi une terre, un champ avec encore plus de fonds pour découvrir les véritables richesses, celles qui sont durables et qui commencent par le mental pour ensuite sortir et jaillir comme des sources d’eau vive pour améliorer des situations qui semblent sans espoir et qui semblent vouées à l’échec alors que la réussite est si proche de soi et du coup en même temps une part pour les autres se répand !
Bonjour, j’adore ce poème. Je l’ai appris au collège en Algérie et je le connais par cœur ❣ Mon prof M. HASNAOUI à Tlemcen, et oui
Bonjour ! Moi, je veux savoir les passages qui comportent la description et celles de la narration.
J’aime bien ce poème et depuis l’enfance je le connaissais déjà. Rien n’est facile dans la vie. Il faut travailler, se battre pour arriver au sommet. Ne jamais baisser les bras d’avoir foi en Dieu et en soi même tout est possible en celui qui croit.
J’aime beaucoup cette fable qui me rappelle mon enfance. C’est une leçon qui reste gravée à vie dans nos coeurs…
J’aime beaucoup la dernière strophe: *Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort, que le travail est un tresor*
Super !
Je suis emu, ça me fait penser à mon père qui était enseignent à Dinguiraye.
Quelles valeurs sont ici associées au travail ? S’il vous plait, pouvez-vous m’aider pour cette question ?
Réponse à Cépamoi. J’ai comme l’impression que vous n’avez pas bien lu. À aucun moment le père laboureur avoue à ses enfants que le travail est un trésor. Je vous invite à relire ce poème. Et si vous voulez on pourra faire la critique ensemble.
Je trouve ce poème toujours d’actualité, surtout pertinent en ces temps où le concept d’entrepreneuriat a le vent en poupe. Du coup, par « C’est le fonds qui manque le moins » j’entends le manque de fonds d’investissement, de capital initial à investir dans une Start-up.
En effet, bien souvent les gens se font trop de souci au sujet de la question de savoir d’où leur viendra l’argent pour lancer leur idée de business. D’aucuns se laissent même paralyser par le manque de capitaux et voient leurs projets enfouis dans le tiroir des oubliettes. Voilà pourquoi « Travaillez, prenez de la peine » est à la fois un encouragement et un rappel qu’il suffit de s’y lancer, avec les moyens de bord, avec persévérance et abnégation. Non seulement cet effort initial est en soi un investissement capital (c’est-à-dire important), mais aussi et surtout, l’effort soutenu finit toujours par payer, soit avec un ou des investisseurs qui finissent par être intéressés à investir, soit avec des recettes et des profits au bout du tunnel pour l’entrepreneur qui s’y est mis corps et âme.
J’en pleure chaque fois que j’y pense et que je travaille mon jardin. Prémonitoire, bon sens… Chacun peut en penser ce qu’il veut… Moi je me souviens de mes parents et de ma jeunesse.
Marc, merci de m’avoir répondu ! Votre explication m’est très utile
J’ai toujours en mémoire cette récitation pour répondre le mot de notre vie scolaire quand j étais en primaire et aussi au collège. C’est l’une des poésies qui m’est restée en mémoire que, d’ailleurs dans ce temps de confinement, j’ai eu l’occasion de lire et expliquer à mes enfants. Chapeau à Jean de la Fontaine !
Réponse à Paula :
« Travaillez, prenez de la peine » pourrait se dire : donnez vous du mal ou faites des efforts.
« C’est le fonds qui manque le moins », le fonds veut dire les biens ou valeurs.
En somme, ces deux vers veulent dire que le travail est la richesse la plus importante. Plus personne ne parle de cette manière… et de nombreux français seraient bien incapables de donner le sens de ces vers.
Vous maniez le français très correctement, je vous félicite. Juste une petite chose, on ne dit pas étudiante « du » français mais « en » français.
Bonjour ! Je suis une étudiante du français comme langue étangère. Je dois faire une traduction des deux premiers vers de ce poème mais je n’arrive pas à comprendre le sens littéral. Quelqu’un pourrait, plus ou moins, me l’indiquer ? Merci 🙂
Très heureux de retrouver cette fable et les commentaires très touchants de cette grande confrérie francophone à travers le monde. Moi aussi je l’ai apprise pour le certificat, écrite sur un cahier bien illustré et à ma grande surprise, l’inspecteur après s’être cassé la figure en montant sur la table, a proclamé les résultats que j’ai dû du mal à croire, vu l’état de perturbation. C’est alors que j’ai vu mon ancien instituteur se précipiter sur moi, c’était son jour de gloire. Pour moi la route allait être longue et difficile. A 78 ans je défens toujours le bien commun et cherche à terminer à tout prix une livre de maths app qui doit permettre de mieux faire des recherches expérimentales, comme un vrai laboureur, sur les trésors de la Terre.
Apprise en 8eme année, ça reste gravé au fonds de mon cœur. Conseil de sagesse qui inspire surtout nous les jeunes.
Ce poème je l’ai appris en 1967 à l’école maternelle de Khemis el Khachna (Fondouk) Algerie, maintenant j’ai 62 ans j’aime ce poème parce que mon père été laboureur ca me rappelle mon enfance j’ai envie de pleurer.
C’est à 45 ans que je découvre la profondeur de ce poème. Vaut mieux tard que jamais. Labourons le champ, un trésor est caché dedans.
Je ne peux jamais oublier ce poème… Il est mon point d’appui et je l’enseigne à mes élèves.
Ce poème le peuple algérien en entier devrait le connaitre et comprendre que le Travail est un tresor.
Merci beaucoup pour pour ce poème. Je l’aime bien.
Cette poésie je l’ai récitée pour mon examen de CEP. C’était trop cool. J’étais même allé avec une houe pour accompagner de gestes et de sentiments dans ce que je disais quand je me rappel. C’était trop cool, j’aime toujours.
J’adore! Magnifique!
Ce poème est génial! Maintenant je sais que le travail est un trésor. Merci aussi a ma prof de français qui m’a fait petit à petit aimer le français. Merci beaucoup !
On l’avait appris par coeur mais étant petit on ne comprenait rien à rien, et les maîtres et maîtresses français ne nous expliquaient pas. C’est une fois grands que nous avons compris la morale.
Ce qui est étonnant c’est que ce poème a trouvé un écho en Afrique et dans le monde. Je l’ai lue devant un groupe de divers pays et chacun s’est souvenu de son enfance. Formidable. La vraie éducation.
Bonjour, un truc ne tient pas la route ! Le père dit qu’il y a un trésor caché (pourquoi ne l’a t-il jamais sorti d’ailleurs ?). A sa mort les fils creusent comme des fous alors que le père leur a déjà avoué que c’était le travail qui était un trésor. La motivation d’un trésor caché n’a donc plus aucun intérêt. Le fond est bon mais la chute est nulle !
Sans travail, tu n’arrives à rien et tu ne laisseras rien devant ni derrière toi. Tu n’auras pas existé.
C’est génial
Vraiment ça m’a fait beaucoup de plaisir.
Le français et ses belles lettres se perd. Pourquoi aujourd’hui, nous impose t-on un français issu de la rue et de ses quartiers? Je pensais que le propre de l’homme était de s’élever et non subir un nivelement par le bas. La morale de ce poème est de considérer le travail comme une vertu, un héritage comme une valeur digne de notre respect qui mérite toute notre attention. Donc revenons à ces valeurs et au français de nos pères.
Le travail est un tresor
Tro cool ❤
A chaque fois que je regardais les champs de blé des orangeries des palmeries etc ce poème me reviens dans la mémoire
Formidable! Ces poésies sont des récits qui vont rester graver dans nos coeurs. Ils sont légions, « Un songe » » Le corbeau et le renard » « La cigale et la fourmie » et j’en passe. Mes enseignants oh! Les maîtres et les maîtresses… les miens que sont Adoun, Pierre, Logo, julienne… Je pense encore à eux. Faisons comme eux et enseignons nos enfants l’art de la poésie et de la parole…
Un poème plein de leçons. Ça motive bien pour le travail.
Aidez moi à comprendre la conjugaison dans ce vers: Le père mort, les fils vous retournent le champ.
Le travail est un trésor
La vérité reste toujours vraie. Quand nous apprenions ce poème et tant d’autres nous étions tout petit et aujourd’hui en tant qu’instituteur c’est le seul poème qui me reste en mémoire. Je l’enseigne à mes élèves et j’y prends toujours plaisir.
J’essaie de transmettre un peu de français à un ami italien, je compte sur Jean de la Fontaine pour m’aider!
Je me suis rappeler de ce poème et quand je voulais le réciter quelques mots n’ont échappés vu que je ne l’avait jamais appris en classe seulement auprès des collègues lorsque ils récitaient moi aussi je répétais. C’est vraiment un bon poème.
Rien de plus émouvant et de plus motivant que de lire ces fameux vers
Un poème qui est plein de signification ça me rappel de l’école primaire, je remercie l’auteur qui a laissé un héritage pour l’humanité.
Un poème émouvant et constructeur des valeurs des grands hommes. Je l’ai lu dans les années 1979. Quel merveilleux souvenir?