Travaillez, prenez de la peine :
C’est le fonds qui manque le moins.
Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins.
Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l’héritage
Que nous ont laissé nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ dès qu’on aura fait l’Oût.
Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse.
Le père mort, les fils vous retournent le champ
Deçà, delà, partout ; si bien qu’au bout de l’an
Il en rapporta davantage.
D’argent, point de caché. Mais le père fut sage
De leur montrer avant sa mort
Que le travail est un trésor.
Jean de La Fontaine
Les enseignements de ce poème, vont au-delà des apparences pour nous conduire sur les sentiers purement spirituels. En le relisant, on s’en aperçoit un peu plus vite…
Quelle joie! Quelle retrouvaille! Nostalgia! Beau souvenir! Bel épôque! Charmant! Amitiés inondées de lumières, conseils et orientations de mes sages parents et instituteurs de l’ École Primaire de Mwana-Muyombo, Paroisse de Kingunda, de la contrée de Kingete, zone de Kasongo-Lunda, située dans la région de Bandundu. Comment pourrais-je oublie les enseignements sévères de mes instituteurs comme Mr Jean Kasongo, Médard, ya Moni Dorethée.. Ya Ngolozaku Nsindu, Tsibante Corneil… En effet, les enseignements reçus de tous ces sages hommes et femmes sous un soleil brilliant de la Sagesse, de l’ Intelligence et de la Prudence ont fait de moi d’ une personne honête, sage et disciplinée grâce aux lectures, recitations théâtrales de Jean de La Fontaine, Antoine de Saint-Exipéry, Emile Zola, les récits de Tam Tam Afrique, etc. Quelle Bonne et meilleure, la nôtre! Quelle formation humaine! Grâce à la langue française! Maintenant en Colombie où je me vis il y a belle lurette, les chansons, les poèmes, les morceaux de pièces théâtrales, Les Choristes,… sont toujours présents dans les salons de classe de Uniminuto où je donne cours il y a plus de cinq…
Oui le beau poème, la belle leçon retenue, la morale tirée des conseils du père et surtout nos maîtres de l’époque qui nous choisissent ces poèmes qui ont leur pesés en or dans la langue Française. Je salue mon maître Monsieur Bernouci Abdesslam qui a toujours était un bon maître dans toutes les matières qui nous a dispensé, c’était dans les années 1964 à l’école Guessous du quartier les Orangers à Rabat, MAROC. Je n’ai gardé que des bons souvenirs de cette école et de ses maîtres qui étaient des géants dans leur noble métier. Monsieur Bernouci nous enseignait les matières en Français, durant toute l’année scolaire il ne s’est jamais adressé à nous en une autre langue que le Français, on croyait qu’il ne parlait notre langue maternelle. Qu’elle était notre surprise quand à la fin de l’année scolaire en Juin au moment de nos adieux car c’était notre dernière année dans cet établissement, nous passions au collège, il nous a parlait en notre dialecte maternelle.
Une poésie qui me rappelle mon école primaire et qui, aujourd’hui, me motive à travailler dur pour la survie de mes enfants, tout en leur apprenant, comme nous l’enseigne ce poème, que le travail reste la source de toute réussite.
Ça me rappelle mon instituteur de français Mr Rabah Touchel que Dieu ait son âme qui nous apprenait ce poème il y’a à peu près 40 ans …..
Tout ça me rappelle mon enfance, mon école, ma maîtresse et quelque fois j’ai les larmes aux yeux.
Excellant poème. Cela me rappelle mes premiers pas d’écolier. Mes amis et camarades d’enfance et surtout notre chère enseignante mademoiselle Faredhab de l’école lycée colonel abbés à Maghnia. La classe de CM2, c’était vraiment le bon temps…
J’aime
Ça me rappelle mon père qui venait de réciter cela ce matin. Rien n’est plus bon que la poésie.
Tous ces derniers jours je pense à cette fable et je l’ai relue pour me souvenir de tous les vers. J’ai bien envie de le lire à mon petit fils de 15 ans, lui qui n’est pas motivé en classe, pas concentré, pas persévérant pour deux sous. Il ne s’intéresse qu’aux copains, à ses jeux vidéo et à son iPhone. Dire que je lui avais enseigné la lecture à quatre ans avec le Bocher… j’ai 76 ans, je ne suis que la grand-mère. Merci quand même, La Fontaine
Merci à tous ceux qui ont aimé ce poème. Oui le travail est un trésor vraiment.
Bonjour à ceux qui lisent ce commentaire simple et qui me rappelle mon enfance, c’est à dire, l’âge de cinq ans, c’était ma première année à l’école primaire de Zadezas, et ce en 1960. Dans le temps, j’ai pensé que dans le champs se trouvera un vrai trésor. Alors que le trésor c’était le labour « le travail de la terre ». Merci beaucoup à Madame Erôle mon instituteur. C’est magnifique comme héritage de ce père qui a vu sa mort venir, puis à laisser derrière lui, ses enfants et aussi un trésor aux reste du monde du travail. Mille merci…
Superbe texte indémodable. Transcende le temps et l’espace
Divine inspiration
Cela me rappelle toujours les classes primaires. Mais j’ai ensuite fait les lettres, et ce Monsieur Victor m’est toujours formidable car je l’adore beaucoup et je connais presque tous ces poèmes en tête. Chose étonnante ce matin mon papa de 70 ans vient de me réciter entièrement Le Laboureur et ses Enfants…
Pour moi, il y a rien de mieux qu’une poésie de Jean de la Fontaine pour apprendre à mieux éduquer les enfants. Cela fait maintenant 15 ans que je la connais par coeur.
Ça me rappelle mon école primaire à Guet Ndar – Saint-Louis- Sénégal. C’est la récitation que j’avais faite à l’examen du CEPE en 1976.
Je viens d’utiliser cette Fable dans mon devoir d’Economies Générales. Vraiment très content de savoir que de nombreuses vies ont mangé le fruit de cet écrivain. Je vais jamais oublier ma grande mère qui m’a fait connaître cette Fable.
Devant la paresse de ma fille, j’ai dû « internauter » pour lui rappeler par cette fable l’importance du travail.
Le père ne garde jamais vos bien pour vous…
Le travail, c’est la liberte. Lorsque j’etais en classes primaires au cours des annees 50, nous avions l’habitude de chanter a l’unissons lors de notre renvoi: En classe fuyions la paresse, la nonchalance, et loisivete, et maintenant le travail cesse, ouvrons la porte a la gaiete. Allons la classe est terminee, la tache est faite on est joyeux, reprenons nos chants et nos jeux, satisfaits de noter journee, tres calmement, marchons au pas comme des soldats. A l’ecole, les fables de Jean de la Fontaine nous instillaient le gout du travail et nous servaient comme une source d’inspiration.
Moi j’ai appris ce poéme à 11 ans et je suis passée devant ma maitresse et j’ai eu une exellente note, mais elle est très dure.
Je l’ai lu quand je faisais la classe de CE2. Je suis très ému par la plume de ce grand Mr de la littérature française. Ce poème est très important dans la mesure où il nous donne et incite d’aller en profondeur de la recherche bref être des aguerri de la recherche. Ce poème est multidimensionnel d’une c’est une leçon de vie et d’autre part c’est un véritable déclic pour les amateurs de la recherche.
J’ai lu ce poème à l’age de 10 ans en tunisie. J’ai 59 maintenant mais les mots me reviennent tout le temps. Je suis très ému de lire tous les commentaires des personnes qui ont partagé ce même pleasir de la poesie.
J’ai appris cette belle poème pendant mes études primaires au Rwanda/Afrique à Banga en 1968/1969,- j’avais 11ans-, je me rappelle de mon école primaire! Je dois l’exposer ce mardi 07-05-2019 dans une formation pro-Active des handicapés psychiques à Strasbourg, France / Europe,-pays de Jean de la Fontaine du Royaume de Louis XIV-.
Donne-moi un poisson je mangerai mais apprend moi à pêcher je n’aurai jamais plus faim.
Très impressionnant. J’adore ce poème
Quel bel adage! 《Que le travail est un trésor》
Grand moment, quand on m’a appris cette poésie à l’école! J’ai compris à quoi nous servait l’ecole: école de la sagesse! Une ancienne éleve du Cm1 au Cameroun.
Très beau poème appris dans mon village à Kitutu (RDC) en 1982. C’est le fond qui manque le moins. J’aurais bien voulu que ce soit : « c’est le fort qui manque le moins ». A 10 ans, je récitais sans bien comprendre.
Cette fable je l’ai lu que deux fois pour la memoriser. Quel beau souvenir des cours élémentaire au primaire.
« Creusez, fouiller, bêchez »: pourquoi avoir écrit « fouiller » à l’infinitif ?
Le laboureur et ses enfants… je me rappelle comme si c’était hier de l’avoir récité le jour de mon certificat d’étude. On donnait notre cahier de récitations aux examinateurs, il choisissaient un poème au hasard et il fallait réciter. C’était hier, en 1961…. Une grande satisfaction me saisit en lisant les commentaires, de voir des noms étrangers, preuve que la poésie française si elle doit perdurer ce sera grâce à ces amoureux de la francophonie. Merci à eux…
C’est pour cela que nous sommes différents par les années qui passent. Il y a eu de l’éducation à l’époque.
Travaillez, prenez de la paine c’est le fon qui manque le moin. Cette adage me touche vraiment.
C’est magnifique de voir tous ces étrangers francophones louer Jean de la Fontaine. Je l’ai appris moi aussi et je m’en souviens, n’oublions pas non plus Victor Hugo. Merci aux écrivains français.
Quand l’école était encore l’école. Epoque sans Android. Là je viens de le réciter à mon fils. Suis toute émue de lire les différents commentaires.
Tous les revendeurs d’héritage à conakry (concessions laissée par leur père) n’ont pas eu le mérite de ce poème au primaire s’ils ont été belle et bien scolarisés. On doit eviter de vendre l’heritage laisser par nos parents.
Plus qu’une métaphore … c’est le sens même de la vie moderne et la bienveillance du patriarche de toute culture et toute croyance qui sont exposés là … « pas de gain sans peine » et « bonheur dans l’accomplissement »… ça vaut pour tout, partout et en tout temps.
Très joli poème qui me trotte dans la tête depuis très longtemps. Je l’ai appris à l’école dans les années 60 et ne l’ai plus oublié depuis ainsi que d’autres poèmes de Monsieur de La Fontaine (le corbeau et le renard, le lièvre et la tortue, etc…) tous ce termine par une morale vraie je les récite parfois à mes petits enfants ils sont étonnés parfois subjugués par ces poèmes, dommage qu’il n’y ait plus de leçons de récitation dans nos écoles.
Je l’ai appris en 1987,en Algérie, et depuis, je ne l’ai jamais oublié, voilà les vrais leçons de moral.
Un très beau poème et une très belle morale. Je l’adore! Mais, à lire le nom des commentateurs, je me demande si ce poème n’a été appris qu’à l’étranger. Ce n’est pas une critique, loin de là, c’est une très bonne chose que j’approuve. Mais si c’était le cas, je pense que ce serait un grand dommage pour le pays de La Fontaine. On n’apprend plus la morale aujourd’hui dans nos écoles et on s’étonne que devenus grands, les enfants n’aient plus aucune morale…
La morale de votre texte c’est le travail c’est le trésor.
« travaillez, prenez de la peine » on arrive toujours à trouver nos récompenses. C’est pour cela que j’avoue que cette phrase est très importante.
Très utile poème à toujours se référer pour bâtir sa vie. Merci Jean de la Fontaine.
Je me souviens quand j’étais en 5eme année primaire que j’avais appris ce poème. Je ne l’ai jamais oublié.
Ce poème appris au CM2 en 2003 m’a toujours inspiré et m’encourage toujours à faire des efforts car le sage Jean De La Fontaine nous à laissé un héritage inestimable. Lorsque je pense à « Travaillez, prenez de la peine : c’est le fonds qui manque le moins. » et nous dit que « le travail est un trésor », alors je l’ai médité et aujourd’hui non seulement je connais tous les vers en tête mais également est ma source d’inspiration dans mes études. Merci beaucoup à l’auteur Jean de la Fontaine.
« Creusez, fouillez, bêchez, ne laissez nulle part où la ne passe et repasse. »
Cette phrase m’est inoubliable; elle fait toujours penser le « Jean Devaux » qui aussi nous l’a laissée. Une phrase qui, pleine d’inspiration, elle fait revivre l’esprit et donne le courage. Merci Jean de la Fontaine au texte inspiratoire qui vous avez laissé aux peuples de Dieu.
Pour vivre il faut toujours avoir de l’argent; Merci Jean de la Fontaine
Ce poème nous ramene vraiment à quand on était petits…
Aussi bien valable dans notre environnement physique que dans les dimensions subtiles. Dans la réalité, La Fontaine est parti d’une approche spirituelle pour habiller la pensée avec des mots qui nous renvoient au matériel: Lorsqu’il dit :
« Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l’héritage
Que nous ont laissé nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout. »
C’est quoi « l’héritage laissé par nos parents » y compris ceux de La Fontaine? Qui sont ces parents? C’est quoi le « trésor » vu comme héritage?
J’ai appris cette belle poème pendant mes études primaires à Babougou en 1995-1996. Merci vraiment, c’est seul, le travail qui libère. Je suis actuellement Directeur d’un Complexe Scolaire.
Ce poème contient une philisophie remplie d’une sagesse très approndie. C’est ce que souvent mes sages parents aimaient me rappeler.
Ce poème de Jean de la Fontaine inspire les generations et continuera à inspirer jusqu’à la fin du monde. C’est vraiment modele, car tout trésor vient du travail.
Cette poésie est humanisée. Elle parle d’un fait qui n’est ni écrit ni prononcé mais qui se réalise.
Merci Jean de la Fontaine. Quand j’étais petit je n’aimais pas étudier, mais mon père m’a appris ce poème et j ai commencé à travailler. Maintenant je suis milliardaire.
Bien entendu, le poème du laboureur et ses enfants je l’ai appris en 1964 à l’école primaire, et je garde encore quelques vers par coeur. Il faut tout d’abord savoir le but de toute fable quelque soit, c’est la morale, la morale de « le laboureur et ses enfants : est le dernier ver « que le travail est un tresor ». Louis XIV a fait appel à Jean de la Fontaine pour qu’il apprenne au Deaufin les choses de la vie concernant un Roi future, étant donné que le Deaufin est le prince Héritier du trône. Voilà presque tout. Mes amitiées
Merci vessah Issa mon directeur de cm2
Travail est un trésor. Ca c’est une pure réalité sans preuve contraire.
Ce poème me rappelle l’école primaire et je suis content de l’avoir appris.
Moi je suis très généreux. Je ne vois pas pourquoi il faudrait tout garder pour soi. C’est pour cela que je laisse le trésor aux autres. Il seront reconnaissants et me laisseront bien quelque chose en échange, non ?
Je m’appelle Jean Bosco Rwigema, grandit au Burundi en tant que refugie à l’age de 3ans mais mon pere m’appris ce poeme à l’age de 8 ans et tous mes freres jusqu’a moins d’une annee pour qu’il meurt il nous a amene moi, mon grand frere et mes deux petits freres pour nous nous lesser comme heritage ou legue ce poème. C’etait en 1974 pcq il est mort en 1975 à l’age de 43 ans. Surtout il insistait sur « travailler prenait de la peine »; « c’est le fonds qui manque le moins »; « creusez, fouiller, bechez ne laissez jamais ou la main ne passe ou repasse ». « Gardez vous de vendre l’heritage que vous ont laissé vos parents » et il insistait en nous expliquant phrase par phrase et il s’arrangait en nous surprenant de lui le reciter pour voir qui se souvient de ce qu’il nous avait appris quand bien meme il faisait long temps apresults.
Ca me rend tres nostalgique. Maintenant j’ai 58 ans et je l’ai appris à l’âge de 8 ans pcq mon père était enseignant en 5eme année primaire et a cet âge j’étais en 3 ème année primaire.
J’ai appris ce poème en 2018. Merci Mme Sameh Dallel. C’est elle qui m’a fait aimer le français. J’ai maintenant 10 ans et 7 mois.
La dernière phrase ‘le travail est un trésor’ : il faudrait que les jeunes l’apprenne !
J’ai appris ce poème quand j’avais 13 ans et je l’ai toujours en tête comme quoi la moralité c’etait la base et le travail paye toujours. Ca me touche.
Le laboureur et ses enfants, je suis content de voir encore cette récitation. Si je me souviens bien j’ai vu cette récitation en 2009, je la vois de nouveau et j’adore. Merci beaucoup.
Très impresionnant ce poeme!
J’ai étudié ce poème quand j’étais à l’ecole primaire en CM2 avec mon beau maître. Il m’a frappé pour la mettre par cœur.
J’ai appris ce poème dans les années 60. Je m’en souviens encore!
Vraiment ça m’a fait beaucoup de plaisir.
Il n’y a rien de plus que les geniteurs puissent leguer a leur progeniture.
Merveilleux
Ça fait 17 ans que j’ai laissé ce livre en classe de CM2. Vraiment quand je lis ça me touche au cœur « le laboureur et ses enfants ».
Merci Jean de la Fontaine.
J’ai appris ce poème à 11 ans. Cela a été pour moi une des richesses de mon enfance et surtout mes études primaires.
Merci beaucoup Jean de la Fontaine. Je suis en 5 ème et on fait ton poème si merveilleux.
Un beau poème qui eduque
Pour ma part : Ce n’est que bien plus tard que le vrai sens m’est apparu. C’est dans la recherche profonde de quelque chose… et pour ma part je le lis dans le domaine de l’etude et de la réflexion sur des thèmes, quels qu’ils soient… que la lumière jaillit. Le fruit de l’étude va bien au delà de l’objet initial. La recherche et la compréhension qui découle de ce travail de recherche est un vrai miracle. La Fontaine est un génie et ce texte est incroyablement fort. Il a été une révélation pour moi, et me guide encore chaque jour.
J’ai appris ce poème dans les année 60; gravé depuis ce temps dans ma mémoire (à l’école primaire d’ El Madher 1976) un récit de Jean de La Fontaine, vraiment j’ai su que le courage avec de l’ambition, c’est la clé de la réussite et l’arrivé au but « surement »
Nostalgie du bon vieux temps. Merci Jean de la fontaine.