Lorsque j’étais en herbe,
déjà je t’inventais.
Réconfortant. Superbe.
Merveilleux tu serais.
Lorsque je fus en fleur…
Eh bien… je t’attendais…
Je pensais : » C’est douleur
dont on ne se remet « .
Que simple est le bonheur
lorsqu’on en est pourvu !
Car dès que tu parus
j’oubliai tout ! Sur l’heure !
Esther Granek, Je cours après mon ombre, 1981
Je suis fan de vous Esther Granek ! ✌️☺️
Ce poème me plait beaucoup. Merci, grâce à vous j’ai pu faire mon devoir. J’ai 14 ans.