Les rochers s’enivrent de fraîcheur intemporelle
Gouttelettes éparpillées en écrins de plaisir
Pinceaux aux mille larmes embellies de transparence
Arc-en-ciel des désirs jaillissant de la montagne
Une histoire se dessine
journée ensoleillée
éclat des enfants
les yeux irisés par cette beauté inespérée
La descente
une marche après l’autre
l’enfer n’est pas là
La cascade a métamorphosé l’émotion
Alcool sublimé, volupté
L’Homme transformé en chérubin
patauge dans le bénitier de la terre
s’agenouillant
éperdu
parmi les crapauds aux regards cuivrés
Sybille Rembard, Beauté fractionnée, 2002
je n’aime pas du tout ce poème…du début jusqu’à « journée ensoleillé » j’aime bien, mais après ça devient bizarre! je n’aime pas du tout…après chacun ses gouts, voila tout!! 🙂