Ma Bohème

Arthur Rimbaud

Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d’amours splendides j’ai rêvées !

Mon unique culotte avait un large trou.
– Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
– Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;

Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !

Arthur Rimbaud, Cahier de Douai (1870)

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199 commentaires sur “Ma Bohème”

  1. nono

    dit :

    Pas mal ce poème

  2. tiktok: sazana_rl

    dit :

    Trop dur à apprendre.

  3. Frederic zaragoza

    dit :

    Un pied près de mon coeur.

  4. Ahg

    dit :

    Difficile à apprendre

  5. Arthure Rimbaud le vrai

    dit :

    Ma Bohème » d’Arthur Rimbaud, écrit en 1870, est un sonnet en alexandrins qui évoque les errances poétiques et rêveuses du jeune Rimbaud, en quête de liberté et de création. Ce poème fait partie de sa période d’adolescence où il adopte un style de vie vagabond, symbolisant à la fois sa révolte contre l’autorité et son engagement poétique.

    Voici une analyse détaillée du poème :
    Texte du poème :

    Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ;
    Mon paletot aussi devenait idéal ;
    J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;
    Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées !

    Mon unique culotte avait un large trou.
    — Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course
    Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
    — Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou.

    Et je les écoutais, assis au bord des routes,
    Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
    De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;

    Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
    Comme des lyres, je tirais les élastiques
    De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur !
    Structure et forme poétique

    Le poème suit la structure classique du sonnet, composée de deux quatrains suivis de deux tercets, en alexandrins. Rimbaud respecte ici les règles de la poésie traditionnelle, mais on sent déjà un écart avec les normes du Parnasse, car il infuse son texte d’une grande liberté d’expression. La structure même du poème, avec ses rimes riches et sa prosodie soignée, contraste avec le thème de la pauvreté et de l’errance.

    Schéma des rimes : ABBA ABBA CCD EDE.
    Les rimes embrassées des quatrains suivent une forme régulière, tandis que les tercets se détachent avec une certaine souplesse.

    Thème principal : la bohème poétique

    Le terme « bohème » fait référence à une vie libre, en marge des conventions sociales, souvent associée à l’idée de pauvreté matérielle mais de richesse spirituelle et artistique. Rimbaud se décrit ici comme un poète vagabond, errant sous le ciel et dénué de possessions matérielles. La révolte contre l’ordre bourgeois et le désir d’une vie de liberté sont des idées centrales du poème.

    Le poème commence par une vision de l’errance : « Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ». Cette première image traduit immédiatement la pauvreté matérielle du jeune poète, mais la suite du vers montre que cette pauvreté est sublimée par l’idéal qu’il poursuit : son « paletot » (manteau) devient « idéal ». Ce simple vêtement, usé et troué, est ainsi transfiguré par la puissance de l’imagination poétique.
    La quête de l’inspiration et la figure de la Muse

    Rimbaud fait appel à la figure classique de la Muse (vers 3 : « Muse ! et j’étais ton féal »). Il se place ainsi sous la protection divine de cette figure mythologique, qui guide les poètes dans leur quête créatrice. Le terme « féal » (vieux mot signifiant « fidèle ») renforce l’idée d’une dévotion totale à l’art poétique.

    Les images oniriques et grandioses (« Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! ») révèlent que, malgré ses conditions de vie précaires, le poète a une vie intérieure riche et foisonnante. Les « amours splendides » évoquent non seulement des amours idéalisées, mais aussi des aspirations artistiques exaltées.
    Le Petit Poucet poète : une allégorie de la création

    Rimbaud se compare à Petit Poucet au vers 6 : « Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course des rimes ». Cette image fait écho au conte de Charles Perrault, où Petit Poucet sème des cailloux pour retrouver son chemin. Ici, Rimbaud sème des « rimes », symbolisant sa quête de sens et de poésie. Ce vers montre que pour le jeune poète, la création poétique n’est pas simplement un acte réfléchi, mais une pratique spontanée, instinctive, liée à son errance. Ses rimes sont comme des traces de son passage.
    La nature comme compagne de l’errance

    La nature joue un rôle important dans ce poème. L’auberge du poète est la Grande Ourse (vers 7), une constellation d’étoiles. Cette image sublime l’errance terrestre de Rimbaud en la reliant au cosmos, renforçant l’idée que le poète trouve refuge non pas dans des biens matériels, mais dans la beauté du monde naturel.

    Les étoiles, dans les vers 7 et 8, « avaient un doux frou-frou », personnifiant la nature comme une compagne douce et réconfortante. Ce vers renforce la musicalité du poème tout en introduisant une atmosphère de calme nocturne, propice à la rêverie.
    Les sensations physiques et poétiques

    Dans les tercets, Rimbaud mêle les sensations physiques à la création poétique. La rosée (vers 10), comparée à « un vin de vigueur », illustre une sorte d’ivresse poétique que le poète ressent dans son errance. Le poème suggère ainsi que la vie d’artiste, bien que difficile sur le plan matériel, est exaltante sur le plan spirituel.

    Le dernier vers du poème, « Un pied près de mon cœur », peut être lu de plusieurs façons. Il peut évoquer la proximité de l’art (le cœur, symbole de l’inspiration) avec la souffrance et les difficultés de la vie (les pieds blessés). Cette image illustre la relation intime entre la souffrance physique du poète et la force créatrice qui en découle.
    Conclusion

    « Ma Bohème » est une ode à la liberté artistique et à la création poétique. Par ce poème, Rimbaud sublime la pauvreté matérielle à travers la richesse de l’imagination et la beauté du monde naturel. L’errance devient un acte poétique, un mode de vie exaltant pour le jeune poète qui refuse les conventions sociales. Cette œuvre reflète également la jeunesse de Rimbaud, pleine de rêves, de révolte et de passion pour la poésie, tout en présageant son désir de rupture avec les normes littéraires de son époque.

  6. Rimbaud

    dit :

    Lâchez-moi les bottines,
    Laissez-moi rêver tel un clochard céleste

  7. rat

    dit :

    Pas mal

  8. Klib

    dit :

    Je trouve ce poème super

  9. Anne Husse

    dit :

    Au top !

  10. Rodolphe Stiegelmann

    dit :

    La nostalgie d’un jeune homme imaginatif pour des moments de bonheur vécus. C’est simple, c’est doux, suffit de laisser libre cours à la rêverie pour s’échapper, ce que le présent de l’auteur ne semble plus permettre. Il le regrette.

  11. Anne HALLE

    dit :

    Super cool! J’adore cette oeuvre, elle me rappelle ma jeunesse lors que je l’ai appris en primaire lol.

  12. Budelli

    dit :

    Grosse dédicace au fdp, je comprend rien non plus.

  13. Dub

    dit :

    L’errance comme viatique, la liberté comme horizon, le regard dans les étoiles, la grande ourse comme guide et une musique des vers pour le suivre à jamais.

  14. Hortense

    dit :

    Pour ceux qui croient que Rimbaud a trafiqué des esclaves et pour comprendre la nature de son trafic d’armes, lisez, si vous en êtes capables SOMEBODY ELSE : Arthur Rimbaud in Africa 1880-91 de Charles Nicholl.

  15. Lucas 8 ans

    dit :

    Je suis en CP et je trouve que c’est un peu abusé de nous faire apprendre ça…

  16. eral

    dit :

    Né en 66, et je suis parti, comme lui, la rage dans le cœur et les mains serrés dans des poches trouées. Ceux qui condamnent ces vers n’ont jamais vécu dehors et sans abris. J’ai aujourd’hui un toit au paradis, mais la rage subsiste. Ce n’est pas juste de condamner ce poème à cause de celui qui l’a écrit.

  17. Charles FROGER

    dit :

    Aspirine, intello de salon, qui es tu pour juger les poètes sur leur comportement ? Tu portes bien ton nom. Tu devrais en abuser!

  18. Parmesan

    dit :

    Bravo

  19. Frédéric Raout

    dit :

    Les commentaires enthousiastes de la part de lecteurs de tous âges font plaisir à lire. Pour les autres, relisez le poème, svp avant d’écrire n’importe quoi.

  20. yaniss

    dit :

    Trop bien

  21. mr potato

    dit :

    Ceux qui disent que ce poème est nul, bah essayez d’en lire plus et de retournez à l’école. Ce poème est magnifique et extraordinaire.

  22. Batylle

    dit :

    Eh bien…. Tresser des lauriers à Aznavour et en faire un viatique de bon goût…. Faut le faire !

    On pourra rappeler que tous les textes de ses chansons ne sont pas de son fait, par exemple… Ou encore que la musicalité de certains de ses textes n’est franchement pas terrible…. Désolé, mais Aznavour, parfois, me refroidit carrément…

    Aznavour lui-même, Aspirine, mérite mieux qu’un message à ce point vitupérant et provocateur… Question de goût…

  23. Marguerite Jolifleur

    dit :

    Mmmh, j’aime voir des individus issus du Baby-Boom condamner des générations entières en les comparant à un unique individu mort en 1891.

    Chouette poème, sinon.

  24. Aspirine

    dit :

    Assez de ce choeur imbécile d’intellectuels germanopratins ! Ils s’extasient jusqu’à tomber en pâmoison devant les vers minables d’un adolescent fugueur qui, par l’effet d’une baguette magique se transforme en symbole de Liberté. Il est bien vrai que dans leur conception, la liberté se résume au droit de débiter des conneries sur un plateau de télé en termes savants . Rimbaud lui-même s’est arrêté de rimailler à l’âge de 20 ans pour aller faire du trafic d’armes et d’esclave en Abyssinie et au Yemen. Grand silence là-dessus. Sa recherche de Liberté n’est apparemment pas celle des autres. Et si certains esprits tordus considèrent « La Bohème » comme la plus belle fleur de l’art poétique français , je préfère de loin celle d’Aznavour, question de bon goût qu’on a ou qu’on n’a pas. Et je me fiche pas mal de leurs objections faisandées .

  25. Max

    dit :

    Quel lycéen de 16 ans est capable d’écrire un sonnet comme celui-ci ? J’ai bien peur que la relève soit absente. À lire les commentaires des jeunes, qu’ils aient compris ou pas la puissance limpide et pénétrante de ces vers, je sens bien l’écart entre la culture de ce siècle et l’actuelle, et ça me désole. Faites un efforts, jeunes gens, et ne vous arrêtez pas au superficiel, pensez par vous-même, analysez, mais surtout, lisez, lisez, c’est la clé pour développer votre cerveau qui n’est pas si vide que certains pensent, il n’est pas sollicité comme il conviendrait, c’est tout. Et n’oubliez pas que le talent n’est pas réservé à une élite, ni à une quelconque orientation sexuelle, ça se saurait !

  26. Grignardaurele_

    dit :

    Alors Hadam ça ne change strictement rien dans l’analyse du texte, il parle ici de sa conception de la vie de bohème: une vie vagabonde, éprise de liberté, déréglée, sans ressource assurée et ne se préoccupant pas du lendemain. Le fait qu’il soit homosexuel ou pas ne change pas la vision du texte car il parle d’un autre sujet.

  27. Hadam 4em3

    dit :

    Je ne suis pas homophobe mais pour mieux comprendre le texte sachez que l’auteur était homosexuel.

  28. Theo

    dit :

    Une bonne poesie. Elle m’a même motivé d’en écrire une.

  29. Joël Hubaut

    dit :

    Sa bohème m’apparaît limpide et accessible, elle est décrite avec une candeur, une innocence et une justesse dans le rêve et la réalité comme seul Rimbaud peut y arriver. L’effronterie dans sa verve et son verbe, sa rythmique, sa témérité, ont ouvert les portes du français à la modernité.

  30. mariama

    dit :

    Tous ces commentaires ne me donnent pas envie de l’apprendre. Je suis en 5eme et je dois l’apprendre pour le 10 mai et vu les commentaires… merci de me décourager… non je rigole.

  31. LKHOULF Mayssan

    dit :

    Bonjour, cette poësie je l’ai appris en 6e. En plus, il parle à Appolon et le dieu du soleil : Appolon je l’ai étudié en Histoire-Géographie.

  32. Évrard

    dit :

    Avant d’écrire un commentaire vous pourriez faire l’effort de vérifier qu’il n’y a pas de fautes d’orthographe. Vous faites plein de fautes, et certaines sont vraiment impardonnables : pourquoi un s à la fin d’un nom ou d’un adjectif au singulier ? Apprenez le français et vous ferez des commentaires après !

  33. Sofia

    dit :

    Je dois l’apprendre pour le cm2, très difficile

  34. Sofia

    dit :

    Poesie très vraies et difficile à apprendre.

  35. Paul Tergaiste

    dit :

    Certains ne sont que trop compréhensibles. Tous ces gens qui ne n’apprécient pas ce poème ne sont pas qu’à moitié ridicules et ennuyeux.
    L’ennui et le vide face à une œuvre ou face au monde sont le plus souvent le résultat de la projection de sa propre nullité. Mais la racine de cette cécité est plus profonde et se nomme fatuité. Ouvrez-les yeux, le génie est tout, nous ne sommes rien. Alors commencerez-vous peut-être à croître.

  36. Max

    dit :

    Si ce poème est aussi ridicule c’est parce que il a envie de faire des choses qu’il ne fera jamais.

  37. Doudou

    dit :

    Ce poème est incompréhensible. Je ne comprend pas tous ces gens qui l’apprécie alors qu’il est à moitié ridicule et ennuyeux « mon unique culotte avait un large trou ». C’est le poème le plus bizzare que j’ai jamais lu.

  38. Maelys Fossez Millot

    dit :

    Je l’ai en français et je la trouve plutôt simple.

  39. Johan FATOUX

    dit :

    Tout est parfait pour moi, rien a changer. Jolie ce text Arthur, j’aime bien, je suis fan de toi.

  40. Izuku

    dit :

    Je dois l’apprendre pour le collège. Il est vraiment trop bien. L’auteur faisait de très bonnes poésies.

  41. Arthur Rimbaud

    dit :

    Très bon poème que dis je excellent poème il frôle la perfection. Je suis en 5eme et ce poème m’a émerveillé par ses figures de style ses sens cachés etc.

  42. Elou

    dit :

    J’ai pas tous compris mais je l’aime bien.

  43. Elouan

    dit :

    Je dois l’apprendre au collège et il est facile.

  44. Schtroumpfette

    dit :

    Dire qu’on le trouve « nul » c un droit. Dire qu’on le trouve « beau » c un droit aussi. Et ne pas comprendre c une chose mais ne pas avoir le courage d’ESSAYER de comprendre c’en est une autre. Un poème ne plait pas toujours mais il faut au moins essayer de le décrypter et après donner un avis.

    Voilà c t mon petit commentaire !

  45. Manuella

    dit :

    Ce poème est pour moi un des poèmes les plus réussis au monde car le poète a un don pour nous faire vivre des choses peu réelles ou inexistantes. Tout comme le poème « Sensation » du même poète. Je félicite ce poète même si il n’est plus vivant, je tiens à dire que c’est pour moi un des plus beaux poème du monde.

  46. BOURAI

    dit :

    Poème que j’ai appris en primaire et que je garde tout près de mon coeur parce qu’un véritable chef d’oeuvre. Il n’y a rien à comprendre, il se vit, il se ressent, il vous transporte. Quand je lis certains commentaires plus que pathétiques je me dis que les temps ont bien changé, que certains ont vécu une époque formidable où la poésie avait et a encore aujourd’hui tout son sens à condition de l’aimer et de l’a ressentir une symphonie que dis je une prouesse ce poème pour ceux qui sauront le sentir vivre…

  47. Oçean

    dit :

    Un magnifique poème facile à apprendre pour les écoles. J’adore.

  48. Oçean

    dit :

    Je dois l’apprendre au collège. Il est trop facile.

  49. Manuella

    dit :

    Ce poème est magnifique, j’ai rarement vu un poème comme lui.

  50. jean louis archibald pascalline

    dit :

    J’adore ce poème même si les rimes sont d’une créativité inexistante comme l’intérêt de ce poème écrit pour flex sur les autres poètes en tentant de faire preuve d’originalité mais bon comme on dit c’est l’intention qui compte. J’ai également apprécié le plaisir que prend Rimbaud à décrire ses relation intimes/raconter sa vie.

  51. jean louis archibald pascalline

    dit :

    « trou frou-frou » ?

  52. arthur

    dit :

    Ce Poème est plus tôt dur à apprendre mais ouvre à des personnes l’art de commencer à être écrivain et auteur.

  53. romane

    dit :

    Je l’apprends en 5éme et je le trouve moyen pour la difficulté.

  54. kamyl

    dit :

    Magnifique

  55. angelique ondet

    dit :

    C’est un poème très sensible, très doux.

  56. Bédée

    dit :

    Magnifique poème que j’avais appris en 6éme mais de le relire me donne envie de le réapprendre pour le plaisir. Tout se qui s’en dégage donne une soif de liberté.

  57. G

    dit :

    Très beau poème, les comparaisons sont magnifiques.

  58. ted123

    dit :

    Ce poème est magnifique. Malgré les critiques de gens immatures comme clemtsanta qui prétendent que ce poème est incompréhensible à 12 ans. Je trouve qu’il est très accessible (je le sais j’ai 12 ans aussi) et qu’il mérite d’être relu par certaines personnes (L inconnu et le fdp au hasard).

  59. Abba zerk

    dit :

    Bonjour à tous,

    J’ai deux questions pourriez vous m’aider ?

    1) Quelles rimes sont suffisantes , riches et pauvres?
    2) Quelles rimes sont embrassées, croisées et plates?

  60. The shit

    dit :

    J’ai adoré ce poème et tous ceux de Rimbaud.

  61. ethan5ème

    dit :

    La personne qui a dit que ce poème est nul et que ce poème et moche, c’est qu’il n’a pas compris la subtilité de ce poème de Rimbaud.

    Moi je le trouve très beau, mais il y a la liberté d’expression et c’est peut-être normal qu’il ne le comprenne pas, comme il n’a peut-être pas cherché la signification du poème ou même demandé à des personnes avec plus de connaissances que lui. Mais sinon ce poème est magnifique.

  62. clemtsanta

    dit :

    Bonjour, je suis en 5 ème (j’ai 12 ans). Du coup mon prof de français a mis ce poème à apprendre. 1) Il est bizarre, 2) Il est trop long, 3) Je n’ai rien compris.

    On m’explique cette phrase « ma culotte avais un large trou ». Franchement je n’ai retenue que cette phrase !

  63. le fdp

    dit :

    Je ne comprends rien à ce poème.

  64. 2009

    dit :

    Je trouve que ce poème doit être lu plusieurs fois pour être compris. Je comprends totalement que des gens puissent le trouver ennuyeux à mourir mais je pense que s’ils le travailleraient en courts cela les accommoderez avec celui-ci. Je ne pense pas que beaucoup de gens verront ce commentaire mais celui qui a dit qu’il était nul devrait peut être essayer de le comprendre.

  65. LE S

    dit :

    Ce poème est stylé.

  66. agapé

    dit :

    Un pied près de mon coeur : parce qu’une femme lui fait l’amour, elle est sur lui. il est allongé dans un pré, la rosée sur le front et le regard dans les étoiles.

  67. agapé

    dit :

    Superbe déclaration d’amour à la liberté, la nature et la beauté de ce monde qui inspirent tant la poésie de Rimbaud. Bien sûr, il avait 20 ans… et les corruptions du monde adulte ont fini de détruire l’âme de cet homme. Il a fini marchand d’armes. Si vous ne comprenez pas ce poème, inquiétez vous pour votre bonheur.

  68. L inconnu

    dit :

    Ce poème c nul, il est moche, je comprend rien.

  69. ABRIANT

    dit :

    Bonjour, je suis en 5eme et je trouve que ce poème est très joli.

    Sur certains commentaires vous dites qu’il est trop compliqué pour ce niveau mais après l’avoir étudié on comprend toute autre chose. Arthur Rimbaud était riche étant petit mais aussi soumit à des règles et des contraintes qui étaient nombreuses. La seule chose qu’il voulait c’était d’être libre… J’espère que vous verrez ce poème différemment à l’avenir.

  70. Vive nobara

    dit :

    Ptdrrr les commentaires me fument, nan en vrai ça sert à rien de l’apprendre en 5 eme. J’ai 12 ans. A quoi ça me sert de savoir qu’il a un trou dans son pantalon. Moi si je fugue, comme il en parle dans son poème, je vais me faire tabasser par mes parents. Lui il revient juste un trou dans le pantalon.

  71. Solal

    dit :

    Pour les futures personnes qui ont besoin d’analyser ce poème je vous conseille de trouver:

    le mètre(syllabes)

    la composition des rimes( embrassées suivies…)

    type de poème

    figures de styles

    nom des strophes en fonction du nombre de vers

    En lisant la première strophe sans avoir lu le reste donner un titre, puis pareil pour les suivantes

    Merci d’avoir lu ce commentaire jusqu’au bout. En analysant tout ça si vous êtes en 5ème comme moi vous êtes prêts pour l’évaluation.

  72. blablacar

    dit :

    Il est nul ce poème.

  73. Anonyme

    dit :

    Pourquoi ce poème est-il dans le programme 5ème ? Il est très difficile à apprendre et il n’est pas ouf.

  74. Vitalie

    dit :

    Je trouve les commentaires très touchants. Je vais relire ce poème.

  75. Roc gross

    dit :

    Imaginez, que peut on égrener quand sa culotte a de larges trous sinon des rimes, tout en rêvant d’amours splendides et que l’on est adolescent

  76. Dimitri Vasseur

    dit :

    Ce poème est très joli. Je l’aime bien.

  77. Quentin

    dit :

    C’est très beau

  78. anonimous

    dit :

    j’ai besoin d’aide pour répondre à des questions sur ce poème:

    1 De quoi le poème parle-t-il?

    2 Comment pouvez-vous justifier ce que vous avez compris?

    3 A votre tour, évoquez un lieu qui vous enchante et vous rend joyeux.

  79. anonimous

    dit :

    Long et peu compréhensible à 12 ans.

  80. Dominique LEMERCIER

    dit :

    Comme beaucoup, ceux qui ont eu le bonheur d’étudier ce poème restent fascinés par la puissance et le sens des mots. Indélébile dans ma mémoire, je me le récite à l’envi tellement il évoque le voyage, la rencontre, la recherche de la liberté et la plénitude. Quel jeune poète de génie !

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